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Critique de LeslecturesdeVeronique
Mon avis sur "l emprise" de Valérie Gans.
La 4e de couverture était alléchante : la descente aux enfers d'une jeune femme qui a tout pour incarner le girl power. Indépendante, intelligente, talentueuse. Celibattante qui aime ses amies, son chat et sa liberté. Jusqu au moment où elle succombe au charme de Mark, authentique pervers narcissique. Elle l'épouse et le suit en Arabie saoudite. Pays dans lequel le gentil Mark dévoile sa vraie nature. Un raté pervers, narcissique, violent, infidèle qui humilie chaque jour un peu plus sa femme.
Où est le bémol ?
Écriture et récit sont superficiels. Cette pauvre jeune femme j'ai eu envie de la secouer ! Mais comment peut elle céder à ce point aussi vite ? Ce type est un salaud absolu doublé d'un raté fini. Tout le monde le voit : ses collègues et même sa propre mère.
D habitude un PN est brillant. Seule sa victime se rend lentement compte de son côté obscur. Là tous les personnages se rendent compte qu'il est nul !
L héroïne sombre si vite. Heureusement que ses amies parisiennes et saoudiennes vont l'aider. Elle, elle se laisse faire. Encore et toujours...
Et sa naïveté est confondante. Elle découvre les conditions de vie des Saoudiennes : oh elles n ont aucun droit. Oh le voile intégral est obligatoire... Elle vit sur quelle planète autiste pour ignorer ça ?
Pas un mot sur l'esclavage des servantes philippines. Tout est superficiel. Jusqu'aux réflexions sur le voile.
Bref un roman vite lu. Et vite oublié.
La 4e de couverture était alléchante : la descente aux enfers d'une jeune femme qui a tout pour incarner le girl power. Indépendante, intelligente, talentueuse. Celibattante qui aime ses amies, son chat et sa liberté. Jusqu au moment où elle succombe au charme de Mark, authentique pervers narcissique. Elle l'épouse et le suit en Arabie saoudite. Pays dans lequel le gentil Mark dévoile sa vraie nature. Un raté pervers, narcissique, violent, infidèle qui humilie chaque jour un peu plus sa femme.
Où est le bémol ?
Écriture et récit sont superficiels. Cette pauvre jeune femme j'ai eu envie de la secouer ! Mais comment peut elle céder à ce point aussi vite ? Ce type est un salaud absolu doublé d'un raté fini. Tout le monde le voit : ses collègues et même sa propre mère.
D habitude un PN est brillant. Seule sa victime se rend lentement compte de son côté obscur. Là tous les personnages se rendent compte qu'il est nul !
L héroïne sombre si vite. Heureusement que ses amies parisiennes et saoudiennes vont l'aider. Elle, elle se laisse faire. Encore et toujours...
Et sa naïveté est confondante. Elle découvre les conditions de vie des Saoudiennes : oh elles n ont aucun droit. Oh le voile intégral est obligatoire... Elle vit sur quelle planète autiste pour ignorer ça ?
Pas un mot sur l'esclavage des servantes philippines. Tout est superficiel. Jusqu'aux réflexions sur le voile.
Bref un roman vite lu. Et vite oublié.
