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Critique de moravia


Ce n'est pas le désir de lire un Erle Stanley Gardner qui m'a fait ouvrir ce livre.
C'est le nom du traducteur, Maurice-Bernard Endrèbe, celui-là même qui a traduit avec brio les ouvrages de Patrick Quentin. C'est l'assurance d'avoir un texte agréable à lire, sans incongruité dans le récit et les dialogues.
Ce sont d'ailleurs ces derniers qui font tout l'intérêt de ce roman policier des années 50.
Après une déception amoureuse Mildred Crest prend sa voiture et roule sans but pour oublier son chagrin.
Devant une station-service elle fait monter une auto-stoppeuse qui semble elle aussi dans le désespoir. C'est tellement vrai que celle-ci se jetant sur le volant, dans un virage, précipite la voiture dans un ravin.
Mildred Crest seule survivante de cet accident, profitera des circonstances pour prendre l'identité de sa passagère dont le corps carbonisé était méconnaissable.
Elle ne savait pas qu'en voulant changer de vie elle allait aussi connaitre tout un tas d'ennuis qui allaient la conduire devant un tribunal bien décidé à la condamner pour meurtre.
Un roman policier bien dans la tradition classique, truffé de nombreux rebondissements avec pour apothéose la scène du tribunal.
Ce n'est pas un chef-d'oeuvre, mais voilà un roman avec suffisamment de qualité pour intéresser l'amateur d'intrigues.
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