La vie, c'est celle vue par le prisme du regard de Momo, un enfant indéterminé car il n'avait pas été daté!
Il y a le Momo de Sébastien Thierry et il y a le Momo du Goncourt avec ses maladresses de langage et ses fautes d'orthographe. Emile Ajar narre de manière originale des tranches de vie entre Momo et Mme Rosa tout le long du roman.
S'agissant d'une relecture, je n'ai cependant pas ressenti cette fois toute la magie de ma première lecture.
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