« Monsieur Hamil, est-ce qu'on peut vivre sans amour ? »
« Il n'a pas répondu. »
Premier pincement au coeur, on était page 11. Ça commençait fort.
Allez, je te le dis. J'ai versé ma petite larme. Mais faut pas croire, mon petit Momo que ça a été comme ça tout du long. Tu m'as fait rire, sourire, même que c'était triste d'en rire de cette fichue vie.
Ce livre contient tout. Tout ce qui me fait aimer la vie malgré, malgré ...tout ! Un roman magnifique, une écriture époustouflante, une virtuosité incroyable dans l'usage des mots, du jeu des mots. le fond magnifié par la forme. Quelle performance !
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