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Critique de Cyrilectures
La parole est à l'accusé, pourrait-on dire, tant l'un des plus beaux revers du tennis a fait couler d'encre sur ses résultats depuis 20 ans. Sa faute aura été d'être d'une précocité inédite et de la même époque que le Big 3, la malédiction de toute une génération.
