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Critique de Luniver
Court essai d'une centaine de pages, lu dans le but de m'aider à comprendre un peu mieux le terrorisme actuel. Espoir vite déçu, j'ai trouvé qu'on restait beaucoup dans le factuel (et un historique exhaustif n'explique pas grand chose), et j'ai eu trop peu d'analyses intéressantes à mon goût.
Dès le départ, je n'ai pas bien compris la distinction faite entre le terrorisme « ancien » et « moderne ». J'ai l'impression de retrouver des caractéristiques des deux catégories dans chaque événement connu. Ma conclusion personnelle de ce passage a été « Le terrorisme, quand même, c'était mieux avant », qui n'est sans doute pas le point de vue de l'auteur, mais c'est tout ce que j'en ai retenu…
L'essai contient beaucoup de critiques contre les solutions mises en place actuellement, mais comme l'auteur n'a pas vraiment de les développer, ça sonne plutôt comme une succession d'accusations gratuites. On parle également de manière récurrente d' « écoterrorisme », que je ne connais pas et dont on ne me donne aucun exemple concret.
Parmi les points qui m'ont tout de même intéressé, les conséquences des actes terroristes : l'auteur montre que, loin d'être aussi stériles qu'on le pense, et malgré les déclarations impétueuses des politiques de ne jamais céder devant le crime, ils forcent les gouvernements à reculer ou à composer avec leurs auteurs, et sont d'une efficacité redoutable. Et également, le fait que l'Occident soit finalement relativement épargné par le phénomène, et est loin derrière le Moyen-Orient et l'Afrique, en nombre d'attentats ou en nombre de victimes.
Dès le départ, je n'ai pas bien compris la distinction faite entre le terrorisme « ancien » et « moderne ». J'ai l'impression de retrouver des caractéristiques des deux catégories dans chaque événement connu. Ma conclusion personnelle de ce passage a été « Le terrorisme, quand même, c'était mieux avant », qui n'est sans doute pas le point de vue de l'auteur, mais c'est tout ce que j'en ai retenu…
L'essai contient beaucoup de critiques contre les solutions mises en place actuellement, mais comme l'auteur n'a pas vraiment de les développer, ça sonne plutôt comme une succession d'accusations gratuites. On parle également de manière récurrente d' « écoterrorisme », que je ne connais pas et dont on ne me donne aucun exemple concret.
Parmi les points qui m'ont tout de même intéressé, les conséquences des actes terroristes : l'auteur montre que, loin d'être aussi stériles qu'on le pense, et malgré les déclarations impétueuses des politiques de ne jamais céder devant le crime, ils forcent les gouvernements à reculer ou à composer avec leurs auteurs, et sont d'une efficacité redoutable. Et également, le fait que l'Occident soit finalement relativement épargné par le phénomène, et est loin derrière le Moyen-Orient et l'Afrique, en nombre d'attentats ou en nombre de victimes.
