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Critique de mieuxvautlirequejamais
Ce roman n'est pas sans intérêt mais on a parfois l'impression de lire une revue médicale. L'auteur n'échappe pas non plus à la tendance actuelle d'utiliser des mots anglais, des mots à la mode, des énumérations sans fin. de plus, les protagonistes ne sont pas spécialement attachants mais plutôt égoïstes, enfantins, agaçants. Il est étonnant que Gallimard ait publié cet ouvrage que je qualifierais de lassant et quelque peu misogyne.
Ce qui m'a énervé :
baby-sitter
Je reste seul dans mon lit, sans bouger. Comme un enfant qu'on vient de violer.
…on captera un sourire.
En fait
briefées
timing
Elles gloussaient, les connes.
J'écoute deux amies fraîchement maries parler de leurs désillusions de vie de couple.
Du coup
Une infirmière a trouvé que je ressemblais à Jésus
Je parle espagnol comme un bovidé français.
Une stagiaires frustrée
Sans doute a-t-elle été la maitresse d'une homme marié.
On a fait le test pour savoir si tu es une salope.
On jette un oeil à un hebdomadaire de gauche.
Peut-être va-t-elle préparer notre plat préféré?
***
p. 12 : l'hôpital est au bout de la rue
p. 149 : le taxi de luxe qui m'attend, le périphérique fluide
Ce qui m'a énervé :
baby-sitter
Je reste seul dans mon lit, sans bouger. Comme un enfant qu'on vient de violer.
…on captera un sourire.
En fait
briefées
timing
Elles gloussaient, les connes.
J'écoute deux amies fraîchement maries parler de leurs désillusions de vie de couple.
Du coup
Une infirmière a trouvé que je ressemblais à Jésus
Je parle espagnol comme un bovidé français.
Une stagiaires frustrée
Sans doute a-t-elle été la maitresse d'une homme marié.
On a fait le test pour savoir si tu es une salope.
On jette un oeil à un hebdomadaire de gauche.
Peut-être va-t-elle préparer notre plat préféré?
***
p. 12 : l'hôpital est au bout de la rue
p. 149 : le taxi de luxe qui m'attend, le périphérique fluide
