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Critique de Otaria
Un véritable thriller qui nous emmène dans quatre lieux différents de la planète (France, Suède, Etats Unis et Chili).
Au départ, Agneta Gerson prend le temps de placer ses personnages et de décrire les lieux où ils évoluent. Elle excelle dans ce domaine. J'ai parfois trouvé que la description des personnages était trop précise, j'aime le flou pour la possibilité d''imaginer les personnages. Mais ce n'est pas l'avis de tous : mon mari par exemple m'a dit qu'il apprécie cet aspect (donc, tout dépend du lecteur).
Inutile de raconter l'histoire, il suffit de lire la présentation faite par Agneta Gerson qui maîtrise parfaitement son sujet : hackers, observatoires, satellites… tout s'enchaîne à un rythme effréné, on a hâte de poursuivre sa lecture pour arriver au final. Mais même si ce roman s'achève, il laisse la porte ouverte à un autre thriller : l'Ombre de Comenius.
A titre personnel, j'ai apprécié les passages sur l'observatoire de la Silla au Chili, ayant eu l'occasion d'observer le ciel et la Lune avec des télescopes à San Pedro de Atacama. J'ai retrouvé les paysages et des détails anodins comme la présence des éoliennes le long de la route empruntée par Manuel qui sont véridiques !
Au départ, Agneta Gerson prend le temps de placer ses personnages et de décrire les lieux où ils évoluent. Elle excelle dans ce domaine. J'ai parfois trouvé que la description des personnages était trop précise, j'aime le flou pour la possibilité d''imaginer les personnages. Mais ce n'est pas l'avis de tous : mon mari par exemple m'a dit qu'il apprécie cet aspect (donc, tout dépend du lecteur).
Inutile de raconter l'histoire, il suffit de lire la présentation faite par Agneta Gerson qui maîtrise parfaitement son sujet : hackers, observatoires, satellites… tout s'enchaîne à un rythme effréné, on a hâte de poursuivre sa lecture pour arriver au final. Mais même si ce roman s'achève, il laisse la porte ouverte à un autre thriller : l'Ombre de Comenius.
A titre personnel, j'ai apprécié les passages sur l'observatoire de la Silla au Chili, ayant eu l'occasion d'observer le ciel et la Lune avec des télescopes à San Pedro de Atacama. J'ai retrouvé les paysages et des détails anodins comme la présence des éoliennes le long de la route empruntée par Manuel qui sont véridiques !
