Avec
le Sursis, tome 2, les zieutements parfois vicieux engendrés par cette histoire atypique font place aux dures conséquences des situations typiques de l'Occupation en France.
Jean-Pierre Gibrat poursuit sa courte fresque en diptyque avec ce deuxième tome, toujours aussi beau mais plus centré, scénaristiquement, pour nous guider vers une fin prenante.
On comprend le titre choisi par l'auteur à l'ultime page et, comme je m'étais pris au jeu de cette histoire, j'avoue avoir été surpris juste comme il faut par la dernière scène. Cela compense le reste de ce deuxième opus qui pêche un peu par quelques franches longueurs et quelques scènes trop attendues, mais l'ensemble reste plus que convenable et on se délecte toujours autant des dessins magnifiques de l'auteur.
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