A l'instar de Mo Hayder, dont certaines descriptions dans Birdman m'avaient fait frissonner, Karine Giebel, à travers certaines scènes de tortures physiques ou morales, pousse encore plus loin l'horreur. On en vient presque à souhaiter que le calvaire des protagonistes, aussi attachants que dangereux, s'achève d'une balle dans la tête, d'une injection létale ou de tout autre moyen qui apporterait une fin rapide et plus que méritée.
Cette petite promenade au pays de la torture m'a amené à découvrir un nouvel auteur français, Karine Giebel, dont un autre de ses romans « Meurtres pour rédemption » va encore me faire repousser ma reprise du trône de fer. Tant pis, il faut ce qu'il faut.
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