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Critique de Lenora
Ce troisième tome qui vient donc clôturer la trilogie m'a semblé plus orienté sur la romance que sur l'histoire de fond. L'intrigue des voyages dans le temps est comme relayée au second plan, ce qui est fort dommage étant donné que c'était l'originalité et le point fort de l'oeuvre. Il n'est donc pas étonnant de sentir un essoufflement dans ce tome.
Ainsi, le roman tourne beaucoup autour des non-dit, et découle sur des situations très prévisibles. Il n'y a plus de surprise même en ce qui concerne la réalité cachée derrière la prophétie. Ce qui nous amène même à nous demander comment Gwendolynn elle-même ne s'est rendue compte de rien. Et comme dans les précédents tomes, on se demande si sa naïveté n'est pas un euphémisme. À côté, je déplore un peu le manque d'approfondissement des autres personnages et du côté fantastique. Pouvoir en savoir plus sur les origines où la source des dons, notamment de la magie du corbeau, aurait été super. du coup, j'ai quand même été beaucoup déçue du dénouement où je m'attendais à beaucoup plus de rebondissements et de découvertes... la fin m'a donc paru rapide, prévisible et fade.
Sinon, tout n'est pas noir.
L'écriture simple et directe est toujours efficace. Bien que j'ai eu un peu de mal avec la traduction qui à voulu garder des mots en anglais sans raison ou utiliser un vocabulaire relativement dépassé (" la batterie est naze").
Les personnages de Gideon et Xemerius sont restés attachants et où on prend un grand plaisir à les retrouver tout au long du récit.
Le concept quand à lui est toujours bon et continue de tenir la route. Les voyages dans le temps ne se contredisent pas et font sens jusque la fin de la saga. Surtout que cette originalité était le plus grand atout de cette trilogie qui s'est avérée bien écrite et construite. On retrouve beaucoup de corrélations entre les différents tomes qui tiennent tout à fait la route. En général, tout se rejoint et répond à toutes les interrogations posée dans le récit.
Une bonne lecture qui fera le bonheur de pas mal de lectrices mais qui pourra laisser sur la faim certaines autres.
Ainsi, le roman tourne beaucoup autour des non-dit, et découle sur des situations très prévisibles. Il n'y a plus de surprise même en ce qui concerne la réalité cachée derrière la prophétie. Ce qui nous amène même à nous demander comment Gwendolynn elle-même ne s'est rendue compte de rien. Et comme dans les précédents tomes, on se demande si sa naïveté n'est pas un euphémisme. À côté, je déplore un peu le manque d'approfondissement des autres personnages et du côté fantastique. Pouvoir en savoir plus sur les origines où la source des dons, notamment de la magie du corbeau, aurait été super. du coup, j'ai quand même été beaucoup déçue du dénouement où je m'attendais à beaucoup plus de rebondissements et de découvertes... la fin m'a donc paru rapide, prévisible et fade.
Sinon, tout n'est pas noir.
L'écriture simple et directe est toujours efficace. Bien que j'ai eu un peu de mal avec la traduction qui à voulu garder des mots en anglais sans raison ou utiliser un vocabulaire relativement dépassé (" la batterie est naze").
Les personnages de Gideon et Xemerius sont restés attachants et où on prend un grand plaisir à les retrouver tout au long du récit.
Le concept quand à lui est toujours bon et continue de tenir la route. Les voyages dans le temps ne se contredisent pas et font sens jusque la fin de la saga. Surtout que cette originalité était le plus grand atout de cette trilogie qui s'est avérée bien écrite et construite. On retrouve beaucoup de corrélations entre les différents tomes qui tiennent tout à fait la route. En général, tout se rejoint et répond à toutes les interrogations posée dans le récit.
Une bonne lecture qui fera le bonheur de pas mal de lectrices mais qui pourra laisser sur la faim certaines autres.
