>
Critique de latina
Je me sens seule, tout à coup, sans cette famille attachante aux ramifications lointaines, sans cette jeune fille Gwendolyn et son amoureux Gideon, sans ce petit esprit de démon-gargouille, sans James, ce fantôme aux belles manières.
Oui, seule, car j'ai adoré suivre les aventures de Gwendolyn sur 3 tomes.
Je me demande pourquoi j'aime tant la fantasy.
C'est actuel et désuet car l'histoire démarre et revient en 2011, mais quelques voyageurs du temps de cette famille passent par le 18e siècle et 1912, plus précisément. Certains même s'y arrêtent.
C'est dangereux et rocambolesque, l'héroïne risque sa peau à chaque saut au 18e siècle, il y a des combats d'épée et du poison, des méchants aux yeux terribles.
C'est comique, le petit esprit de gargouille n'a pas sa langue en poche, spécialement lorsqu'on a bien besoin d'une petite dédramatisation.
C'est à verser une ptite larmichette pour l'héroïne qui est amoureuse, oh oui, mais c'est compliqué.
C'est attendrissant avec Leslie, la meilleure amie qui vient à la rescousse et s'implique comme pas deux ; avec James le fantôme au grand coeur qui ne sait pas qu'il est mort.
C'est familial, avec la maman-poule de Gwendolyn qui aurait tant voulu éviter les ennuis à sa fille ; avec la petite soeur et le petit frère trop mignon ; avec la grand-tante farfelue et protectrice ; et même avec la grand-mère, la tante et la cousine revêches.
C'est lugubre, dans ce Temple où les Veilleurs se rendent pour comploter à propos des voyageurs du Temps.
C'est mystérieux car les voyages dans le temps et la récolte du sang des 12 voyageurs ne se résolvent qu'à la fin.
Cette trilogie est à comparer à Twilight, vraiment, quoiqu'ici il n'y a pas de vampires. Mais il y a une histoire d'amour entre les deux personnages principaux, avec incompréhension de part et d'autre, il y aussi une implication dans la lutte pour le Bien contre le Mal, et une immortalité qui plane au-dessus de tout ça…
Bref, j'avais adoré Twilight en son temps (ne me blâmez pas, c'est mon côté fleur bleue), j'ai adoré La trilogie des gemmes. le jour où je n'aimerai plus ce genre d'histoires, c'est que j'aurai bien vieilli.
Merci, encore, à mon élève pour m'avoir si gentiment prêté ces tomes lors du confinement.
Oui, seule, car j'ai adoré suivre les aventures de Gwendolyn sur 3 tomes.
Je me demande pourquoi j'aime tant la fantasy.
C'est actuel et désuet car l'histoire démarre et revient en 2011, mais quelques voyageurs du temps de cette famille passent par le 18e siècle et 1912, plus précisément. Certains même s'y arrêtent.
C'est dangereux et rocambolesque, l'héroïne risque sa peau à chaque saut au 18e siècle, il y a des combats d'épée et du poison, des méchants aux yeux terribles.
C'est comique, le petit esprit de gargouille n'a pas sa langue en poche, spécialement lorsqu'on a bien besoin d'une petite dédramatisation.
C'est à verser une ptite larmichette pour l'héroïne qui est amoureuse, oh oui, mais c'est compliqué.
C'est attendrissant avec Leslie, la meilleure amie qui vient à la rescousse et s'implique comme pas deux ; avec James le fantôme au grand coeur qui ne sait pas qu'il est mort.
C'est familial, avec la maman-poule de Gwendolyn qui aurait tant voulu éviter les ennuis à sa fille ; avec la petite soeur et le petit frère trop mignon ; avec la grand-tante farfelue et protectrice ; et même avec la grand-mère, la tante et la cousine revêches.
C'est lugubre, dans ce Temple où les Veilleurs se rendent pour comploter à propos des voyageurs du Temps.
C'est mystérieux car les voyages dans le temps et la récolte du sang des 12 voyageurs ne se résolvent qu'à la fin.
Cette trilogie est à comparer à Twilight, vraiment, quoiqu'ici il n'y a pas de vampires. Mais il y a une histoire d'amour entre les deux personnages principaux, avec incompréhension de part et d'autre, il y aussi une implication dans la lutte pour le Bien contre le Mal, et une immortalité qui plane au-dessus de tout ça…
Bref, j'avais adoré Twilight en son temps (ne me blâmez pas, c'est mon côté fleur bleue), j'ai adoré La trilogie des gemmes. le jour où je n'aimerai plus ce genre d'histoires, c'est que j'aurai bien vieilli.
Merci, encore, à mon élève pour m'avoir si gentiment prêté ces tomes lors du confinement.
