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Critique de ollivier
Il est évident que ce qui fait l'intérêt de ce troisième tome, c'est avant tout la description de la vie quotidienne à Berlin durant les derniers jours de la guerre.
L'intrigue policière est double et assez mince : retrouver et punir le violeur de l'épouse du commissaire et éviter que des plans secrets pouvant aboutir à la construction d'une arme nucléaire ne tombent entre les mains des Soviétiques. Cette recherche s'accélère à partir du moment où Berlin capitule ; alors paradoxalement l'ennui s'installe et on tombe alors dans des péripéties prévisibles et sans originalité.
Un troisième tome qui est loin d'atteindre la verve (parfois teintée de vulgarité) des romans de Philip Kerr.
L'intrigue policière est double et assez mince : retrouver et punir le violeur de l'épouse du commissaire et éviter que des plans secrets pouvant aboutir à la construction d'une arme nucléaire ne tombent entre les mains des Soviétiques. Cette recherche s'accélère à partir du moment où Berlin capitule ; alors paradoxalement l'ennui s'installe et on tombe alors dans des péripéties prévisibles et sans originalité.
Un troisième tome qui est loin d'atteindre la verve (parfois teintée de vulgarité) des romans de Philip Kerr.
