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Critique de LoupAlunettes
Les contes seront toujours assez étonnants pour cela, nous permettant de parler de toutes choses, certaines graves parfois et d'en rire.
C'est arrivé à quelqu'un, que cela nous serve de leçon (en général ces gens seront laissés libres d'aller répéter leurs mésaventures, les enfants ne seront pas croqués ou bien sauvés. Sinon comment pourrions-nous avoir un peu peur pour ne pas faire de bêtises, mais pas trop peur quand même?)
Souvent, nous irons, comme si les chemins et les escaliers pouvaient y mener, voir le diable comme un voisin terrible ou un seigneur très riche à qui l'on demandera audience et aumône.
Ça sera le cas du pauvre Ti-Jeannot, paysan qui n'aura pas de quoi nourrir sa famille si ce n'est avec un pied de taureau offert par son frère richissime, qui l'enverra d'ailleurs au diable.
Quel recours possible, si ce n'est d'offrir peut-être ce pied de taureau au diable en échange d'un petit rien à mettre sous la dent de ses enfants?
Et bien oui, si les bons ne sauraient faire preuve de clémence, peut-être que le pire, le seigneur cornu, lui...on ne sait pas, on ne sait plus quand le ventre est creux.
Le diable généreux mettra à l'épreuve assurément, confiant un Moulin d'abondance capable de rassasier d'un bon repas et de chauffer un logis d'un bon feu revigorant.
Nous retrouverons le jeu des petites formulettes qui plaisent tant aux jeunes écouteurs de conte.
Hop hop, moulin donne moi!
Mais...donne moi, jusqu'à quel point, jeunes gens?
Nous ne serons pas loin du conte breton "Des deux bossus" ou de celui des " Fées" de Perrault.
Avec deux personnes d'une même famille mais aux caractères diamétralement opposés, dont la cupidité, la paresse, la méchanceté, de l'un ou de l'une fera cracher des serpents, des crapauds ou pousser deux bosses.
Et ici, qu'arrivera t-il lorsque le riche Gros-Jean réclamera le moulin pour lui-même, lui qui possède déja tout?
Nous aimerons ce conte étiologique qui révèlera pourquoi depuis ce jour la mer est salée.
C'est à découvrir, à lire à voix-haute et à apprécier de plus pour les illustrations de Nancy Peña que nous aimons bien par ici.
C'est arrivé à quelqu'un, que cela nous serve de leçon (en général ces gens seront laissés libres d'aller répéter leurs mésaventures, les enfants ne seront pas croqués ou bien sauvés. Sinon comment pourrions-nous avoir un peu peur pour ne pas faire de bêtises, mais pas trop peur quand même?)
Souvent, nous irons, comme si les chemins et les escaliers pouvaient y mener, voir le diable comme un voisin terrible ou un seigneur très riche à qui l'on demandera audience et aumône.
Ça sera le cas du pauvre Ti-Jeannot, paysan qui n'aura pas de quoi nourrir sa famille si ce n'est avec un pied de taureau offert par son frère richissime, qui l'enverra d'ailleurs au diable.
Quel recours possible, si ce n'est d'offrir peut-être ce pied de taureau au diable en échange d'un petit rien à mettre sous la dent de ses enfants?
Et bien oui, si les bons ne sauraient faire preuve de clémence, peut-être que le pire, le seigneur cornu, lui...on ne sait pas, on ne sait plus quand le ventre est creux.
Le diable généreux mettra à l'épreuve assurément, confiant un Moulin d'abondance capable de rassasier d'un bon repas et de chauffer un logis d'un bon feu revigorant.
Nous retrouverons le jeu des petites formulettes qui plaisent tant aux jeunes écouteurs de conte.
Hop hop, moulin donne moi!
Mais...donne moi, jusqu'à quel point, jeunes gens?
Nous ne serons pas loin du conte breton "Des deux bossus" ou de celui des " Fées" de Perrault.
Avec deux personnes d'une même famille mais aux caractères diamétralement opposés, dont la cupidité, la paresse, la méchanceté, de l'un ou de l'une fera cracher des serpents, des crapauds ou pousser deux bosses.
Et ici, qu'arrivera t-il lorsque le riche Gros-Jean réclamera le moulin pour lui-même, lui qui possède déja tout?
Nous aimerons ce conte étiologique qui révèlera pourquoi depuis ce jour la mer est salée.
C'est à découvrir, à lire à voix-haute et à apprécier de plus pour les illustrations de Nancy Peña que nous aimons bien par ici.
