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Critique de akrapolivr
Et enfin s'ouvre la maison close raconte l'histoire du Clandé (1996-2006), squat toulousain, mais pas que. En donnant la parole à ses habitants et habitantes, habituées, et sympathisants, le livre devient une formidable archive des luttes des années 90 et 2000, un témoin de l'impensée de genre qui régnait même dans les lieux de vies hors-norme, une entrée dans les mouvements punks....
Demain Les Flammes nous livre un texte magnifique qui lie les tupamaros d'Uruguay à l'Usine AZF explosée de Toulouse. Il faut souligner la qualité de la retranscription des entretiens qui permet de vivre la pluralité des lieux d'énonciation tout en construisant un récit très cohérent, uni dans la diversité. Il faut également souligner l'honnêteté qu'à le récit de ne pas passer sous silence les manquements, les "moins-bien" de la vie en squat et de la vie du squat. Pour ne pas fantasmer un lieu, il n'y pas de "paradis perdus".
Enfin, vient une question : que faire de toutes ces histoires, de toutes ces luttes, de tous ces récits, pour ne pas tout recommencer à chaque fois ?
Demain Les Flammes nous livre un texte magnifique qui lie les tupamaros d'Uruguay à l'Usine AZF explosée de Toulouse. Il faut souligner la qualité de la retranscription des entretiens qui permet de vivre la pluralité des lieux d'énonciation tout en construisant un récit très cohérent, uni dans la diversité. Il faut également souligner l'honnêteté qu'à le récit de ne pas passer sous silence les manquements, les "moins-bien" de la vie en squat et de la vie du squat. Pour ne pas fantasmer un lieu, il n'y pas de "paradis perdus".
Enfin, vient une question : que faire de toutes ces histoires, de toutes ces luttes, de tous ces récits, pour ne pas tout recommencer à chaque fois ?
