Il aura fallu que je lise mon 15 ème roman de
Maurice Gouiran, pour me rendre compte que son nom était l'anagramme de "Narigou", son journaliste, et détective à ses heures.
Si dans la première partie de ce polar/roman/Thriller, -avec sur toile de fonds la spoliation des oeuvres d'art appartenant aux juifs par le régime nazi et tout ce qui a pu générer comme "histoires" dans leur restitution, à l'instar de "Umezzu", j'ai également trouvé la seconde partie un peu plus "lente", sans parler de poussive. Effectivement, même si ce "
Maudits soient les artistes" est -comme toujours avec
Gouiran"- bien documenté, j'y ai trouvé trop de redites sur les aspets de l'Histoire -H majuscule", et la résolution de -ou plutôt "des"- énigmes, m'a déçu.
Mais on ne opeut enlever à l'auter, son talent de conteur.
Au fait, j'en ai un 16 ème dans ma pile, à lire!!!!
Commenter  J’apprécie         00