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Critique de Rhineyya
Des zombies dans la prairie m'avait fait de l'oeil avec son résumé décalé qui promettait un bon moment de lecture. Je remercie Babelio et les éditions Casterman pour l'envoi de ce livre.
Dès les premières pages, le ton est donné : ce livre va parler d'une invasion de marmottes zombies en Haute-Savoie. Maximus, un ado de 17 ans fan de métal, et ses petits frères sont traînés par leur mère à un festival de punks à chiens dans la région. Très vite, Maximus se rend compte que quelque chose cloche avec les marmottes qui se montrent particulièrement menaçantes. L'adolescent va alors tenter de déjouer leurs plans machiavéliques et de sauver les festivaliers au péril de sa vie.
Au début du livre, les personnages sont présentés comme dans une pièce de théâtre, avec une petite description. Les dialogues reprennent eux aussi les codes du théâtre avec le nom du personnage écrit avant chaque réplique et le ton adopté. Une première touche d'originalité qui m'a bien plue.
C'est dans l'ensemble un livre drôle et original dans la même veine que Félicratie de H. Lenoir, un excellent post-apo jeunesse qui fait la part belle à l'humour. J'ai beaucoup aimé les personnages, Maximus et ses petits frères notamment, le fait qu'il appelle ses frères jumeaux les Twix, que ceux-ci soient inséparables et parlent toujours d'une seule voix, la soupe du chalet inépuisable de sa grand-tante... plein de détails qui m'ont fait sourire et qui contribuent au style déjanté de l'histoire.
J'ai tout de même été chiffonnée par quelques points, le premier étant que Maximus (et pas seulement lui) admet bien trop vite que les marmottes sont devenues des zombies. Ce n'est tout de même pas courant les zombies, en particulier les marmottes ! Et les explications sur l'origine de ces mutations n'arrangent pas les choses, elles sont très clichés et très vite acceptées. La fin quant à elle m'a presque fait lever les yeux au ciel tant elle était dans le trop.
En conclusion, une histoire fun et décalée que j'ai appréciée mais qui n'a pas été le coup de coeur attendu.
Dès les premières pages, le ton est donné : ce livre va parler d'une invasion de marmottes zombies en Haute-Savoie. Maximus, un ado de 17 ans fan de métal, et ses petits frères sont traînés par leur mère à un festival de punks à chiens dans la région. Très vite, Maximus se rend compte que quelque chose cloche avec les marmottes qui se montrent particulièrement menaçantes. L'adolescent va alors tenter de déjouer leurs plans machiavéliques et de sauver les festivaliers au péril de sa vie.
Au début du livre, les personnages sont présentés comme dans une pièce de théâtre, avec une petite description. Les dialogues reprennent eux aussi les codes du théâtre avec le nom du personnage écrit avant chaque réplique et le ton adopté. Une première touche d'originalité qui m'a bien plue.
C'est dans l'ensemble un livre drôle et original dans la même veine que Félicratie de H. Lenoir, un excellent post-apo jeunesse qui fait la part belle à l'humour. J'ai beaucoup aimé les personnages, Maximus et ses petits frères notamment, le fait qu'il appelle ses frères jumeaux les Twix, que ceux-ci soient inséparables et parlent toujours d'une seule voix, la soupe du chalet inépuisable de sa grand-tante... plein de détails qui m'ont fait sourire et qui contribuent au style déjanté de l'histoire.
J'ai tout de même été chiffonnée par quelques points, le premier étant que Maximus (et pas seulement lui) admet bien trop vite que les marmottes sont devenues des zombies. Ce n'est tout de même pas courant les zombies, en particulier les marmottes ! Et les explications sur l'origine de ces mutations n'arrangent pas les choses, elles sont très clichés et très vite acceptées. La fin quant à elle m'a presque fait lever les yeux au ciel tant elle était dans le trop.
En conclusion, une histoire fun et décalée que j'ai appréciée mais qui n'a pas été le coup de coeur attendu.
