>
Critique de cvd64
un album, deux tomes, une histoire comme on en lit peu.
une institution ( CAT qui aujourd'hui s'appelle) pour personnes dépendantes, des pensionnaires qui vivent côte à côte mais parfois il arrive que deux êtres éprouvent des sentiments et rêvent ensemble d'une autre vie.
comment parler de rapports intimes entre résidents, surtout quand ils n'ont pas les bases ni les codes; cet album le fait avec simplicité et sans tabou.
on suit leur quotidien , les repas, leur préparation avant de se rendre au travail leurs chamailleries et leurs rêves, pour les grands enfants qu'ils sont et demeureront.
Lucy et Nono, les principaux personnages vont réaliser le leur, mais hélas il tournera court et chacun devra reprendre le fil de sa vie avec , pour certains, culpabilité et absence.
La scène du supermarché m'a rappelé une visite au Louvre comme accompagnatrice de patients de psychiatrie.
une institution ( CAT qui aujourd'hui s'appelle) pour personnes dépendantes, des pensionnaires qui vivent côte à côte mais parfois il arrive que deux êtres éprouvent des sentiments et rêvent ensemble d'une autre vie.
comment parler de rapports intimes entre résidents, surtout quand ils n'ont pas les bases ni les codes; cet album le fait avec simplicité et sans tabou.
on suit leur quotidien , les repas, leur préparation avant de se rendre au travail leurs chamailleries et leurs rêves, pour les grands enfants qu'ils sont et demeureront.
Lucy et Nono, les principaux personnages vont réaliser le leur, mais hélas il tournera court et chacun devra reprendre le fil de sa vie avec , pour certains, culpabilité et absence.
La scène du supermarché m'a rappelé une visite au Louvre comme accompagnatrice de patients de psychiatrie.
