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Critique de CBooks
Helen Grant, autrice anglaise ayant vécu en Allemagne, s'est inspirée de la disparition d'un vitrail du Moyen Âge, retrouvé cent vingts ans plus tard intact, pour écrire "Le Démon du Vitrail".
Dans ce livre, nous suivons Lin Fox, dix-sept ans, obligée de déménager en Allemagne avec sa famille pour le travail de son père. Il n'est obsédé que par une chose : retrouver les vitraux d'Allerheiligen. Cependant, dès leur arrivée, les cadavres s'accumulent et le voisinage semble persuadé qu'un démon hante ces vitraux. Mais qu'en est-il vraiment ?
Ce livre, trouvé chez Emmaüs, traîne dans ma PAL depuis un bon moment et je me suis enfin décidée à le lire. Malheureusement, je le trouve seulement moyen, agréable mais sans plus. L'histoire est assez basique et sans surprise (j'étais pas loin de deviner la fin exacte assez tôt dans l'histoire) mais se lit tellement facilement qu'on prend tout de même la peine d'aller jusqu'au bout. Je ne suis pas forcément très accrochée aux personnages : je ne sais pas pourquoi mais je n'étais pas capable d'imaginer que Lin avait dix-sept ans mais était plus jeune ; les parents sont exécrables mais, surtout, les enfants traitent différemment leur père et leur mère pour des comportements pourtant similaire (au point où j'ai eu du mal à comprendre si Tuesday était leur mère ou leur belle-mère) ; et la romance n'est pas du tout à mon goût même si j'ai un peu apprécié Michel. Celle que j'ai vraiment aimé, c'est Polly qui m'a touché. Les personnages sont pourtant bien construits et intéressants. L'autrice traite parfaitement l'anorexie et la fin m'a quand même fait un peu vibrer. L'ambiance autour du catholicisme est agréable et non pesante, ce qui est bien pour les non-religieux. Et ça fait du bien de voir un peu l'Allemagne pour changer. Par contre, encore une fois, il faut arrêter de mettre "l'hystérie" à tout va, on peut décrire les femmes avec d'autres mots que des termes misogynes. Et il y a aussi quelques phrases grossophobes qui entachent le livre.
En bref, je suis un peu déçue qu'un livre que j'ai gardé si longtemps soit juste moyen.
Dans ce livre, nous suivons Lin Fox, dix-sept ans, obligée de déménager en Allemagne avec sa famille pour le travail de son père. Il n'est obsédé que par une chose : retrouver les vitraux d'Allerheiligen. Cependant, dès leur arrivée, les cadavres s'accumulent et le voisinage semble persuadé qu'un démon hante ces vitraux. Mais qu'en est-il vraiment ?
Ce livre, trouvé chez Emmaüs, traîne dans ma PAL depuis un bon moment et je me suis enfin décidée à le lire. Malheureusement, je le trouve seulement moyen, agréable mais sans plus. L'histoire est assez basique et sans surprise (j'étais pas loin de deviner la fin exacte assez tôt dans l'histoire) mais se lit tellement facilement qu'on prend tout de même la peine d'aller jusqu'au bout. Je ne suis pas forcément très accrochée aux personnages : je ne sais pas pourquoi mais je n'étais pas capable d'imaginer que Lin avait dix-sept ans mais était plus jeune ; les parents sont exécrables mais, surtout, les enfants traitent différemment leur père et leur mère pour des comportements pourtant similaire (au point où j'ai eu du mal à comprendre si Tuesday était leur mère ou leur belle-mère) ; et la romance n'est pas du tout à mon goût même si j'ai un peu apprécié Michel. Celle que j'ai vraiment aimé, c'est Polly qui m'a touché. Les personnages sont pourtant bien construits et intéressants. L'autrice traite parfaitement l'anorexie et la fin m'a quand même fait un peu vibrer. L'ambiance autour du catholicisme est agréable et non pesante, ce qui est bien pour les non-religieux. Et ça fait du bien de voir un peu l'Allemagne pour changer. Par contre, encore une fois, il faut arrêter de mettre "l'hystérie" à tout va, on peut décrire les femmes avec d'autres mots que des termes misogynes. Et il y a aussi quelques phrases grossophobes qui entachent le livre.
En bref, je suis un peu déçue qu'un livre que j'ai gardé si longtemps soit juste moyen.
