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Critique de BazaR


Ce week-end j'ai eu envie de me détendre. Après une mûre réflexion d'une demi-seconde je me suis dirigé vers ce cher Achille Talon. Recommençant par le commencement, j'attrape le premier tome.

Chichille à nous y fait ses gammes. Son premier profil est moins amusant que la version définitive me dis-je. Mais c'est surtout parce que je n'y suis pas habitué. Ses premiers gags sont sympas, une seule page à chaque fois, Achille se pose en donneur de leçons auprès de deux gamins qui ne lui ont rien demandé et qui apprendront beaucoup en voyant l'exemple de ce qu'il ne faut pas faire. La rivalité avec le voisin Lefuneste est immédiate ; les cases de BD ne sont pas assez grandes pour eux deux. Petit à petit Achille prend sa forme définitive ; son nez grossit et se lustre, le sourire s'affirme. D'autres seconds rôles font leur apparition : le commerçant absolu Vincent Poursan, l'affriolante marquise Virgule de Guillemet, le vieux major qui a fait la guerre.

Et les jeux de mots explosent.
Exemple le gendarme : « Ce n'est pas pour vous gâcher la journée, mais de la cloche au violon, il n'y a pas loin ! Qu'on se le dise ! Et maintenant Piano ! »
Exemple Lefuneste : « Oui, j'ai la goutte ! Et alors ? Vous n'avez jamais la goutte vous ? Non ? Eh bien ça vous pend au nez ! »

Et les gags visuels s'enchainent. Exemple… Ah bé non, je peux pas vous montrer là.

Baffr ! Je me suis bien détendu té ! J'en reprends l'assent ! Chaque fois que je me relâche c'est pareil !

Allez la bise.
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