>
Critique de belette2911
Bruno Brazil, où comment commencer une nouvelle collection de bédé quand on se retrouve, soupirante d'avoir lu tout ce qui vous intéressait, dans sa petite bouquinerie préféré. Ma chance était d'avoir un vendeur excellent qui a toujours su me conseiller.
Bruno Brazil, ce fut sur son conseil et aucun regret.
Le pitch ? Au USA, dans un accident mortel de la circulation, le survivant se révèlera être "Kurt Schellenburg" un ancien nazi du service de "récupération et répartition des métaux précieux et bijoux".
La nouvelle défraiera la une des chroniques et le Colonel L, cerveau des "services" (l'organisation la plus secrète de défense international) va saisir l'enquête et la confier à un de ses meilleures Agent : Bruno Brazil.
Dans l'hôpital Kurt annoncera qu'il avait quitté l'Europe en 45 à bord d'un U-Boot le "U-753", en direction de l'Amérique du Sud avec à son bord une fortune avoisinant les 15 milliards de $.
L'U-Boot sombrera en mer au large de Costa Negra, à Caraguay.
Brazil et Hawk, un collègue de la maison, vont devoir aller enquêter sur ce mystérieux trésors au Caraguay.
Le trésor existe-t-il ou est-ce une fumisterie? Qui mène le jeu derrière ses règlement de compte ?
Brazil, c'est un classique BD d'espionnage pas un maître du genre : Greg (il a écrit les scénario de Brazil sous le pseudonyme de "Albert Louis").
En 1967, Greg est à son apogée de la création de scénario et il est rédacteur en chef du journal de Tintin. Ce n'est pas un débutant.
Aux dessins, nous avons Vance !
Ce que j'adore dans ces albums, c'est le cynisme du personnage principal qui pourrait nous faire penser à XIII.
Au début, il n'a pas encore toute sa fine équipe, mais quand il les aura tous recrutés, on pourra dire que ce seront de sacrés personnages !!
Les dessins de Vance offrent des scènes et des personnages réalistes, détaillés.
Ses dessins sont très froid, ce qui colle très bien à des histoires d'espionnage.
Seul problème : la couleur orangée, grise reste triste et désagréable pour une bonne lecture.
Mais bon, le scénario reste bon, même si Greg nous offre un héros sans peur, qui n'a pas froid aux yeux et qui, parfois, pourrait paraître trop "super-héros".
Ce style "super-héros" se retrouvera aussi dans une autres série : Bernard Prince.
Son héros, Bruno Brazil, a l'air d'être calqué sur l'adaptation cinématographique de James Bond.
Nous avons un personnage intelligent qui côtoie la mort tous les jours mais qui, de part son expérience et son 6ème sens déjoue tous les complots. Jamais décoiffé non plus ! Oui, ça ressemble à 007.
Pour sa grande intelligence, au moment où Kurt va expliquer l'énigme du "U-753" Brazil va rapidement l'interrompre pour expliquer de fond en comble la solution de cette énigme qu'il avait trouvée facilement.
Quand je vous disais qu'il était intelligent. Mais bizarrement, cela ne nuira pas au personnage.
Ce premier épisode allie élégance, manichéisme et aventure. "Le requin qui mourut deux fois", c'est une aventure explosive.
Histoire classique d'espionnage des années 60. Les mauvais sont ceux de ces années là.
25 ans après la Seconde Guerre Mondiale, les histoires exploitaient l'horreur nazie et les réseaux d'exfiltration nazis (Odessa par exemple).
Même si la série possède ses petits défauts, elle n'en reste pas moins une série imaginée par deux grandes pointures. Je n'ai jamais regretté de l'avoir incorporée dans ma biblio.
Toujours un plaisir de la relire.
Bruno Brazil, ce fut sur son conseil et aucun regret.
Le pitch ? Au USA, dans un accident mortel de la circulation, le survivant se révèlera être "Kurt Schellenburg" un ancien nazi du service de "récupération et répartition des métaux précieux et bijoux".
La nouvelle défraiera la une des chroniques et le Colonel L, cerveau des "services" (l'organisation la plus secrète de défense international) va saisir l'enquête et la confier à un de ses meilleures Agent : Bruno Brazil.
Dans l'hôpital Kurt annoncera qu'il avait quitté l'Europe en 45 à bord d'un U-Boot le "U-753", en direction de l'Amérique du Sud avec à son bord une fortune avoisinant les 15 milliards de $.
L'U-Boot sombrera en mer au large de Costa Negra, à Caraguay.
Brazil et Hawk, un collègue de la maison, vont devoir aller enquêter sur ce mystérieux trésors au Caraguay.
Le trésor existe-t-il ou est-ce une fumisterie? Qui mène le jeu derrière ses règlement de compte ?
Brazil, c'est un classique BD d'espionnage pas un maître du genre : Greg (il a écrit les scénario de Brazil sous le pseudonyme de "Albert Louis").
En 1967, Greg est à son apogée de la création de scénario et il est rédacteur en chef du journal de Tintin. Ce n'est pas un débutant.
Aux dessins, nous avons Vance !
Ce que j'adore dans ces albums, c'est le cynisme du personnage principal qui pourrait nous faire penser à XIII.
Au début, il n'a pas encore toute sa fine équipe, mais quand il les aura tous recrutés, on pourra dire que ce seront de sacrés personnages !!
Les dessins de Vance offrent des scènes et des personnages réalistes, détaillés.
Ses dessins sont très froid, ce qui colle très bien à des histoires d'espionnage.
Seul problème : la couleur orangée, grise reste triste et désagréable pour une bonne lecture.
Mais bon, le scénario reste bon, même si Greg nous offre un héros sans peur, qui n'a pas froid aux yeux et qui, parfois, pourrait paraître trop "super-héros".
Ce style "super-héros" se retrouvera aussi dans une autres série : Bernard Prince.
Son héros, Bruno Brazil, a l'air d'être calqué sur l'adaptation cinématographique de James Bond.
Nous avons un personnage intelligent qui côtoie la mort tous les jours mais qui, de part son expérience et son 6ème sens déjoue tous les complots. Jamais décoiffé non plus ! Oui, ça ressemble à 007.
Pour sa grande intelligence, au moment où Kurt va expliquer l'énigme du "U-753" Brazil va rapidement l'interrompre pour expliquer de fond en comble la solution de cette énigme qu'il avait trouvée facilement.
Quand je vous disais qu'il était intelligent. Mais bizarrement, cela ne nuira pas au personnage.
Ce premier épisode allie élégance, manichéisme et aventure. "Le requin qui mourut deux fois", c'est une aventure explosive.
Histoire classique d'espionnage des années 60. Les mauvais sont ceux de ces années là.
25 ans après la Seconde Guerre Mondiale, les histoires exploitaient l'horreur nazie et les réseaux d'exfiltration nazis (Odessa par exemple).
Même si la série possède ses petits défauts, elle n'en reste pas moins une série imaginée par deux grandes pointures. Je n'ai jamais regretté de l'avoir incorporée dans ma biblio.
Toujours un plaisir de la relire.
