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Critique de gill
Une hache ayant sectionné les circuits d'aération, isolés du reste du Jabrakk, Luc Orient et ses compagnons doivent, pour sauver les trois millions de Dartz en exode, retourner sur la planète Roubak.
Le mystérieux saboteur, finalement démasqué, s'avère être une vieille connaissance et posséder un secret qui pourrait permettre à Luc et à ses compagnons de franchir la barrière temporelle et à peut-être revoir cette bonne vieille terre au vingtième siècle....
Cet album est l'épilogue d'une quadrilogie. Elle fait suite à trois autres chapitres, "la porte de cristal", "l'enclume de la foudre" et "le rivage de la fureur".
Cependant dans un premier temps, "Roubak, ultime espoir", semblant mettre de côté "le rivage de la fureur", s'avère finalement être plus une suite de "l'enclume de la foudre".
Puis un volte-face du scénario réintroduit "le rivage de la fureur" dans le cycle.
Greg ne signe pas l'écriture du récit.
Eddy Paape est seul aux commandes pour la première fois dans la série.
L'album est réussi mais c'est un album de transition, un épilogue un peu hésitant.
Les dessins sont parfaits. Eddy Paape est au sommet de son art.
Éditée sous forme d'album en 1984, cette aventure est parue initialement, en 1983, dans les pages du journal "Tintin".
Au final, même s'il est un peu terne, "Roubak, ultime espoir" est un bon album qui se relit avec plaisir.
Le mystérieux saboteur, finalement démasqué, s'avère être une vieille connaissance et posséder un secret qui pourrait permettre à Luc et à ses compagnons de franchir la barrière temporelle et à peut-être revoir cette bonne vieille terre au vingtième siècle....
Cet album est l'épilogue d'une quadrilogie. Elle fait suite à trois autres chapitres, "la porte de cristal", "l'enclume de la foudre" et "le rivage de la fureur".
Cependant dans un premier temps, "Roubak, ultime espoir", semblant mettre de côté "le rivage de la fureur", s'avère finalement être plus une suite de "l'enclume de la foudre".
Puis un volte-face du scénario réintroduit "le rivage de la fureur" dans le cycle.
Greg ne signe pas l'écriture du récit.
Eddy Paape est seul aux commandes pour la première fois dans la série.
L'album est réussi mais c'est un album de transition, un épilogue un peu hésitant.
Les dessins sont parfaits. Eddy Paape est au sommet de son art.
Éditée sous forme d'album en 1984, cette aventure est parue initialement, en 1983, dans les pages du journal "Tintin".
Au final, même s'il est un peu terne, "Roubak, ultime espoir" est un bon album qui se relit avec plaisir.
