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Critique de gill
En 1963, Babiole et Zou, tous deux journalistes au service de radio-télévision, vont résoudre, au péril de leur vie, le mystère des grosses têtes.
Ils s'étaient rencontrés, en 1962, au cours d'une première enquête, dans les pages de "Tintin", le journal des jeunes de 7 à 77 ans.
En 1964, Mr Sommet, pris de court, n'ayant aucun journaliste intelligent sous la main, envoie Zou à l'aéroport attendre l'arrivée du radjah Tanchon Al-Hassan-Tay.
La carrière du jeune journaliste est en jeu !
Quelques semaines plus tard, il apparaît à nouveau dans le journal, mais cette fois comme vendeur de dentifrice, puis comme laveur de carreaux....
Zou sans Babiole n'est rien ou presque.
Son existence de célibataire se résume à cinq apparitions sous la forme d'autant de petits récits en quatre pages tous signés par l'immense Greg.
Le dessin y semble moins soigné,
le récit y semble moins construit,
les personnages y sont plus caricaturaux
que dans les deux aventures, sous forme d'histoires à suivre, de Babiole et Zou.
Ces petits récits publiés postérieurement dans le journal donnent même parfois l'impression d'être des ébauches retrouvées dans un carton et reprises pour boucher quelque trou dans la ligne éditoriale du journal des jeunes de 7 à 77 ans.
Autant je suis généralement admiratif du travail de Greg, autant ici je ne l'ai pas aimé.
Alors, lorsque vous rencontrez Zou, assurez-vous toujours que Babiole n'est pas loin...
Ils s'étaient rencontrés, en 1962, au cours d'une première enquête, dans les pages de "Tintin", le journal des jeunes de 7 à 77 ans.
En 1964, Mr Sommet, pris de court, n'ayant aucun journaliste intelligent sous la main, envoie Zou à l'aéroport attendre l'arrivée du radjah Tanchon Al-Hassan-Tay.
La carrière du jeune journaliste est en jeu !
Quelques semaines plus tard, il apparaît à nouveau dans le journal, mais cette fois comme vendeur de dentifrice, puis comme laveur de carreaux....
Zou sans Babiole n'est rien ou presque.
Son existence de célibataire se résume à cinq apparitions sous la forme d'autant de petits récits en quatre pages tous signés par l'immense Greg.
Le dessin y semble moins soigné,
le récit y semble moins construit,
les personnages y sont plus caricaturaux
que dans les deux aventures, sous forme d'histoires à suivre, de Babiole et Zou.
Ces petits récits publiés postérieurement dans le journal donnent même parfois l'impression d'être des ébauches retrouvées dans un carton et reprises pour boucher quelque trou dans la ligne éditoriale du journal des jeunes de 7 à 77 ans.
Autant je suis généralement admiratif du travail de Greg, autant ici je ne l'ai pas aimé.
Alors, lorsque vous rencontrez Zou, assurez-vous toujours que Babiole n'est pas loin...
