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Critique de bdelhausse
Le lancement d'une nouvelle saison, c'est l'occasion de faire le point sur les personnages, sur les forces en présence et de présenter de nouvelles têtes.
D'un côté Sandor Weltmann, le méchant invisible qui pactise avec les Stryges. de l'autre une organisation structurées en strates, à laquelle appartient Debrah (l'Ombre), la femme qui figure sur toutes les couvertures, dirigée par Crandl. Sans doute tout aussi peu recommandable que Weltmann... On soupçonne celui-ci d'avoir fait abattre 6 des principaux responsables de l'organisation de Crandl. Debrah prend du galon en accédant à un échelon de pouvoir supérieur...
Debrah va faire la rencontre de Jill, qui a reçu le souffle d'un Stryge et souffre aussi du même mal que Melly. Celle-ci est hébergée loin dans la nature canadienne par Nivek qui fuit les Stryges, mais rencontre de temps en temps Debrah. Mais lorsqu'il revient à la cabane, Nivek découvre que Melly a été enlevée par son père.
Debrah et Jill se trouvent des points communs et surtout un ennemi commun: Weltmann.
Mise en place, démarrage plutôt lent, effectivement. Mais quand même un peu de tension, du rythme, de l'action, mais sans plus. Dessin et découpage cinématographique. Bref, la continuité de la première saison.
D'un côté Sandor Weltmann, le méchant invisible qui pactise avec les Stryges. de l'autre une organisation structurées en strates, à laquelle appartient Debrah (l'Ombre), la femme qui figure sur toutes les couvertures, dirigée par Crandl. Sans doute tout aussi peu recommandable que Weltmann... On soupçonne celui-ci d'avoir fait abattre 6 des principaux responsables de l'organisation de Crandl. Debrah prend du galon en accédant à un échelon de pouvoir supérieur...
Debrah va faire la rencontre de Jill, qui a reçu le souffle d'un Stryge et souffre aussi du même mal que Melly. Celle-ci est hébergée loin dans la nature canadienne par Nivek qui fuit les Stryges, mais rencontre de temps en temps Debrah. Mais lorsqu'il revient à la cabane, Nivek découvre que Melly a été enlevée par son père.
Debrah et Jill se trouvent des points communs et surtout un ennemi commun: Weltmann.
Mise en place, démarrage plutôt lent, effectivement. Mais quand même un peu de tension, du rythme, de l'action, mais sans plus. Dessin et découpage cinématographique. Bref, la continuité de la première saison.
