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Critique de Davalian
Mieux qu'un thriller de Stephen King, l'édition 2018 du guide de la Sicile des éditions du Routard saura vous faire peur…
Sa lecture à peine entamée, vous allez regretter d'avoir choisi cette destination de vacances. Et vous voilà sur place (l'annulation pour raison d'angoisse post lecture du Routard ayant le mérite de faire rire votre assureur au passage) à transpirer de peur, à guetter vos affaires, à compter vos doigts… avant de constater qu'au final ici comme ailleurs, il faut être prudent sans en faire de trop.
A force d'être répétés, les messages d'avertissements en deviennent alarmants et les petites phrases rassurantes n'y changeront rien. Il s'agit là d'un fait révélateur qui démontre de manière assez claire que l'ouvrage a pu bénéficier d'un travail de relecture assez perfectible.
Il est tout aussi regrettable que la séparation entre les informations pratiques sur la Sicile et celles touchant à la culture ne sont pas clairement délimitées. Une partie unique aurait été plus pertinente. D'ailleurs les explications historiques (réduites à leur plus simple expression) laissent rapidement la place au politique et à la culture. Cela n'empêche pas les auteurs de se permettent des raccourcis assez scandaleux et des commentaires franchement inopportuns.
Le guide compte pourtant avec de nombreux points positifs (ergonomie, important travail d'actualisation, mise en page), mais qui ne parviennent guère à contrebalancer d'importantes imperfections. le style ne donne clairement pas envie de voyager ni de découvrir l'île et la plupart des lieux guère davantage. Les pages consacrées à Palerme s'illustrent notamment par une énumération d'églises et de bâtiments religieux…
Il aurait également été pertinent de mettre davantage l'accent sur les contraintes horaires et les aléas organisationnels (surtout hors période d'affluence). Tout comme il aurait été judicieux de s'intéresser à d'autres adresses qui peuvent parfois révéler de très belles surprises (et dévoilées notamment par des guides « indépendants »…).
Mieux vaut donc éviter ce guide, sinon pour retenir les adresses proposées, sans pour autant faire l'impasse sur celles qui ne sont pas citées ici…
Sa lecture à peine entamée, vous allez regretter d'avoir choisi cette destination de vacances. Et vous voilà sur place (l'annulation pour raison d'angoisse post lecture du Routard ayant le mérite de faire rire votre assureur au passage) à transpirer de peur, à guetter vos affaires, à compter vos doigts… avant de constater qu'au final ici comme ailleurs, il faut être prudent sans en faire de trop.
A force d'être répétés, les messages d'avertissements en deviennent alarmants et les petites phrases rassurantes n'y changeront rien. Il s'agit là d'un fait révélateur qui démontre de manière assez claire que l'ouvrage a pu bénéficier d'un travail de relecture assez perfectible.
Il est tout aussi regrettable que la séparation entre les informations pratiques sur la Sicile et celles touchant à la culture ne sont pas clairement délimitées. Une partie unique aurait été plus pertinente. D'ailleurs les explications historiques (réduites à leur plus simple expression) laissent rapidement la place au politique et à la culture. Cela n'empêche pas les auteurs de se permettent des raccourcis assez scandaleux et des commentaires franchement inopportuns.
Le guide compte pourtant avec de nombreux points positifs (ergonomie, important travail d'actualisation, mise en page), mais qui ne parviennent guère à contrebalancer d'importantes imperfections. le style ne donne clairement pas envie de voyager ni de découvrir l'île et la plupart des lieux guère davantage. Les pages consacrées à Palerme s'illustrent notamment par une énumération d'églises et de bâtiments religieux…
Il aurait également été pertinent de mettre davantage l'accent sur les contraintes horaires et les aléas organisationnels (surtout hors période d'affluence). Tout comme il aurait été judicieux de s'intéresser à d'autres adresses qui peuvent parfois révéler de très belles surprises (et dévoilées notamment par des guides « indépendants »…).
Mieux vaut donc éviter ce guide, sinon pour retenir les adresses proposées, sans pour autant faire l'impasse sur celles qui ne sont pas citées ici…
