Sobre et tendrement humain.
Comme l'écrit Camus dans sa préface, le livre “poursuit sa vie dans quelques coeurs”, dont le sien (et le mien), “il y fait du bien, loin de son auteur qui ne le sait pas assez."
C'est exactement ce que je ressens, encore un livre qui tire vers le haut, vers l'empathie et la solidarité entre les hommes, bref qui rend les gens bons et pas andouilles.
Avec pudeur, Guilloux nous fait prendre conscience de l'injustice sociale à cette époque.
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