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Critique de Llael
Il parait que la plus grande invention de l'humanité est la roue. Alors la deuxième plus grande est la deuxième roue.
Restait à mettre un moteur entre les deux pour obtenir la joie et la fierté des motards.
Cela dit que reste-t-il des véhicules capricieux, inconfortables mais néanmoins si attachants dans une époque ou la facilité d'utilisation cède le pas à la folie et à l'esthétisme ?
"Scooters rétro" nous apporte une réponse. L'ouvrage n'est pas qu'un recueil banal de photos agrémenté d'une légende laconique, mais une plongée dans un univers différent, un peu décalé et tellement anglais, une immersion dans le monde des scootéristes de l'Albion.
Des photos vivantes de Lyndon McNeil, loin des clichés habituels, servie par une mise en page soignée, qui ne vous coupe pas la photo en plein milieu. Et les textes de Chris Haddon nous font vivre les histoires de chacun, car c'est de cela qu'il est vraiment question, des engins et de leurs histoires. de leur place dans la vie de leurs propriétaires, bien loin de la consommation à outrance et des engins anonymes que les puristes qualifieraient de "sans âme". Une ode discrète au retour à des plaisirs simples, ceux qui se mesurent avec le coeur plus qu'avec des normes.
Restait à mettre un moteur entre les deux pour obtenir la joie et la fierté des motards.
Cela dit que reste-t-il des véhicules capricieux, inconfortables mais néanmoins si attachants dans une époque ou la facilité d'utilisation cède le pas à la folie et à l'esthétisme ?
"Scooters rétro" nous apporte une réponse. L'ouvrage n'est pas qu'un recueil banal de photos agrémenté d'une légende laconique, mais une plongée dans un univers différent, un peu décalé et tellement anglais, une immersion dans le monde des scootéristes de l'Albion.
Des photos vivantes de Lyndon McNeil, loin des clichés habituels, servie par une mise en page soignée, qui ne vous coupe pas la photo en plein milieu. Et les textes de Chris Haddon nous font vivre les histoires de chacun, car c'est de cela qu'il est vraiment question, des engins et de leurs histoires. de leur place dans la vie de leurs propriétaires, bien loin de la consommation à outrance et des engins anonymes que les puristes qualifieraient de "sans âme". Une ode discrète au retour à des plaisirs simples, ceux qui se mesurent avec le coeur plus qu'avec des normes.
