Ayant lu plusieurs ouvrages sur le thème de la fin du monde (ou plutôt sur la fin d'un monde) à travers les âges, j'ai fini par me lasser.
Ce qui fait que je risque d'être un peu moins objective pour critiquer cet essai lu il y a déjà quelques jours.
Je l'ai trouvé emprunt de beaucoup de références théosophiques, trop à mon goût, mais le sujet s'y prête.
Cependant l'auteur prône la mesure dans les trois risques qui peuvent conduire le monde à sa perte : le transhumanisme, la sublimation de la nature et le fanatisme religieux.
Le développement de ses idées est assez clair, bien qu'emprunt d'une certaine nostalgie ("c'était mieux avant"...).
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