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Critique de EnibasEmolas
« J'ai 57 ans. Je suis un fils, un père, un amoureux, un musicien, un compositeur, je suis un homme qui doute et qui croit ». David Hallyday se raconte pour la première fois dans cette autobiographie qu'il nous livre avec une cinquantaine de photos personnelles.
Des albums, des vrais, il en a composé quatorze pour lui-même, sans compter ceux qu'il a composé pour les autres. Comment oublier Sang pour sang, écrit pour son père en 1999 et dont un million d'exemplaires s'étaient vendus en France. David a joué dans quelques films, participé huit fois aux 24 heures du Mans... et il aura fallu qu'il soit grand-père pour nous ouvrir ce qu'il qualifie de « meilleur album » car riche de ses souvenirs.
David Hallyday raconte ses parents, forcément, un père absent, une mère qui a sacrément bien fait le job, qui l'initie à la musique et lui en donne le goût... pour calmer son énergie débordante. C'est ensuite à Tommy Brown qu'il doit sa passion pour la batterie... et le bouddhisme ! Son beau-père, Tony Scotti professionnalisera la passion de David pour la musique et pour le chant, qu'il n'avait même pas envisagé.
Si vous cherchez dans ces pages un règlement de compte, passez votre chemin, ici que du positif, et c'est appréciable par ces temps de disette intellectuelle. Peut-être grâce au bouddhisme, et aussi grâce à l'éducation qu'il a reçue de sa mère, aidée de Néné, sa grand-mère maternelle qui l'a entouré d'amour et de fumée de cigarette. David Hallyday, si vous avez un peu suivi son parcours depuis trente ans, vous savez que c'est un mec digne, respectueux, discret juste ce qu'il faut et fidèle en amitié. C'est ce qu'on retrouve dans ses mots, tout au long de ce livre dans lequel il remercie beaucoup celles et ceux qui l'ont aidé et soutenu : Philippe Alliot, pilote automobile, Lucky, homme de l'ombre qui s'occupait entre autres des guitares de son père, Philippe Lavil, Florent Pagny, sa mère, cette guerrière et son amour infaillible pour les siens, son beau-père Tony Scotti, qui « tient une place à part au chapitre des remerciements », et bien sûr Alexandra qui partage sa vie depuis vingt ans.
J'étais fan de David Hallyday étant jeune, j'ai donc lu ces pages avec beaucoup de curiosité, et ce qui en est ressorti, et qui transparait de sa personnalité, c'est que vraiment c'est un mec bien! J'avais raison à 10 ans!!!
Lien : https://www.instagram.com/zo..
Des albums, des vrais, il en a composé quatorze pour lui-même, sans compter ceux qu'il a composé pour les autres. Comment oublier Sang pour sang, écrit pour son père en 1999 et dont un million d'exemplaires s'étaient vendus en France. David a joué dans quelques films, participé huit fois aux 24 heures du Mans... et il aura fallu qu'il soit grand-père pour nous ouvrir ce qu'il qualifie de « meilleur album » car riche de ses souvenirs.
David Hallyday raconte ses parents, forcément, un père absent, une mère qui a sacrément bien fait le job, qui l'initie à la musique et lui en donne le goût... pour calmer son énergie débordante. C'est ensuite à Tommy Brown qu'il doit sa passion pour la batterie... et le bouddhisme ! Son beau-père, Tony Scotti professionnalisera la passion de David pour la musique et pour le chant, qu'il n'avait même pas envisagé.
Si vous cherchez dans ces pages un règlement de compte, passez votre chemin, ici que du positif, et c'est appréciable par ces temps de disette intellectuelle. Peut-être grâce au bouddhisme, et aussi grâce à l'éducation qu'il a reçue de sa mère, aidée de Néné, sa grand-mère maternelle qui l'a entouré d'amour et de fumée de cigarette. David Hallyday, si vous avez un peu suivi son parcours depuis trente ans, vous savez que c'est un mec digne, respectueux, discret juste ce qu'il faut et fidèle en amitié. C'est ce qu'on retrouve dans ses mots, tout au long de ce livre dans lequel il remercie beaucoup celles et ceux qui l'ont aidé et soutenu : Philippe Alliot, pilote automobile, Lucky, homme de l'ombre qui s'occupait entre autres des guitares de son père, Philippe Lavil, Florent Pagny, sa mère, cette guerrière et son amour infaillible pour les siens, son beau-père Tony Scotti, qui « tient une place à part au chapitre des remerciements », et bien sûr Alexandra qui partage sa vie depuis vingt ans.
J'étais fan de David Hallyday étant jeune, j'ai donc lu ces pages avec beaucoup de curiosité, et ce qui en est ressorti, et qui transparait de sa personnalité, c'est que vraiment c'est un mec bien! J'avais raison à 10 ans!!!
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