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Critique de Gaoulette
Une superbe découverte et un gros coup de coeur général pour cette trilogie. Je suis complètement fan de l'héroïne et de son aventure incroyable.
Nous retrouvons Amani qui a perdu beaucoup de ses amis en route pendant cette guerre pour la prise de pouvoir du Prince Rebelle et apporter enfin la paix au pays. Amani se retrouve malgré elle à gérer les rebelles restants et à 17 ans c'est un sacré poids sur ses épaules. Amani dans ce dernier opus se posera beaucoup de questions, sera face à des choix cornéliens. Et dans cette galère, elle essayera de préserver cette relation naissante et bancale avec Jin.
Alwyn Hamilton réussit avec brio à conter l'art de la guerre et la prise de pouvoir. Un vrai plongeon dans son univers fantastique mais qui peut faire échos à nos problèmes de société : la pouvoir totalitaire, la légitimité au pouvoir, la place de la femme dans la société, au pouvoir et dans l'armée. Son aventure se passe certes dans un pays imaginaire du Moyen Orient mais on ne peut s'empêcher de penser à certains dictateurs et événements historiques et actuels. Je ne citerai pas de noms et de faits pour éviter de polémiquer.
J'ai trouvé avec son grand final qu'elle apporte une touche pour la réflexion personnelle. Elle pousse le lecteur à remettre en question certains faits. Vu que son sujet principal est la prise du pouvoir, elle apporte un avis qui me semble personnelle sur l'appétit féroce de l'homme pour tout diriger.
C'est une très belle saga que je viens de découvrir. J'ai adoré qu'elle garde en demi teinte la romance pour que le lecteur ne soit pas obnubilé par le ténébreux Jin. Un tome 1 dont je comprends mieux la mise en place et dont je vais modifier ma note. Chose très rare de ma part. Un coup de coeur.
Nous retrouvons Amani qui a perdu beaucoup de ses amis en route pendant cette guerre pour la prise de pouvoir du Prince Rebelle et apporter enfin la paix au pays. Amani se retrouve malgré elle à gérer les rebelles restants et à 17 ans c'est un sacré poids sur ses épaules. Amani dans ce dernier opus se posera beaucoup de questions, sera face à des choix cornéliens. Et dans cette galère, elle essayera de préserver cette relation naissante et bancale avec Jin.
Alwyn Hamilton réussit avec brio à conter l'art de la guerre et la prise de pouvoir. Un vrai plongeon dans son univers fantastique mais qui peut faire échos à nos problèmes de société : la pouvoir totalitaire, la légitimité au pouvoir, la place de la femme dans la société, au pouvoir et dans l'armée. Son aventure se passe certes dans un pays imaginaire du Moyen Orient mais on ne peut s'empêcher de penser à certains dictateurs et événements historiques et actuels. Je ne citerai pas de noms et de faits pour éviter de polémiquer.
J'ai trouvé avec son grand final qu'elle apporte une touche pour la réflexion personnelle. Elle pousse le lecteur à remettre en question certains faits. Vu que son sujet principal est la prise du pouvoir, elle apporte un avis qui me semble personnelle sur l'appétit féroce de l'homme pour tout diriger.
C'est une très belle saga que je viens de découvrir. J'ai adoré qu'elle garde en demi teinte la romance pour que le lecteur ne soit pas obnubilé par le ténébreux Jin. Un tome 1 dont je comprends mieux la mise en place et dont je vais modifier ma note. Chose très rare de ma part. Un coup de coeur.
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