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Critique de xalatan
Pan est un roman écrit en 1894 par l'écrivain norvégien Knut Hamsund 1859-1952), prix Nobel de littérature 1920.
L'écriture en est agréable, presque poétique et contemporaine. Par contre, le sujet du roman, des amours contrariés qui tournent au drame, et même au mélodrame, ne m'a pas plu.
Le lieutenant Glahn, 30 ans et quelques, se remémore son été de deux ans auparavant, quand il s'est isolé pour vivre au milieu de la nature dans un petit cabanon. Il passe ses journées à chasser, accompagné de son chien Aesope. Il rencontre deux (très) jeunes femmes du voisinage vers lesquelles il est très attiré, mais la première, Edwarda, joue avec ses sentiments, tandis que la deuxième, Eva, est mariée.
L'auteur prend le temps de nous expliquer en détails ce qui se passe dans la tête du lieutenant, combien la jalousie et son désir de revange l'affecte. On est dans la tête du personnage. C'est tout l'inverse avec les deux jeunes femmes : silence total, nous n'avons aucun indice sur le pourquoi de leur conduite, particulièrement celle d'Edwarda qui souffle le chaud et le froid, se jette à son cou un jour, puis le rejette le jour suivant. Cette première partie, la plus importante, se termine mal et Glahn quitte le pays.
Le livre se termine par un chapitre tout aussi dramatique qui relate la mort de Glahn lors d'un "accident" de chasse en Inde, alors qu'il s'agit d'un crime passionnel.
J'ai bien aimé l'écriture et les paysages de ce livre ; je n'ai pas aimé les personnages, ni l'histoire et ses drames.
L'écriture en est agréable, presque poétique et contemporaine. Par contre, le sujet du roman, des amours contrariés qui tournent au drame, et même au mélodrame, ne m'a pas plu.
Le lieutenant Glahn, 30 ans et quelques, se remémore son été de deux ans auparavant, quand il s'est isolé pour vivre au milieu de la nature dans un petit cabanon. Il passe ses journées à chasser, accompagné de son chien Aesope. Il rencontre deux (très) jeunes femmes du voisinage vers lesquelles il est très attiré, mais la première, Edwarda, joue avec ses sentiments, tandis que la deuxième, Eva, est mariée.
L'auteur prend le temps de nous expliquer en détails ce qui se passe dans la tête du lieutenant, combien la jalousie et son désir de revange l'affecte. On est dans la tête du personnage. C'est tout l'inverse avec les deux jeunes femmes : silence total, nous n'avons aucun indice sur le pourquoi de leur conduite, particulièrement celle d'Edwarda qui souffle le chaud et le froid, se jette à son cou un jour, puis le rejette le jour suivant. Cette première partie, la plus importante, se termine mal et Glahn quitte le pays.
Le livre se termine par un chapitre tout aussi dramatique qui relate la mort de Glahn lors d'un "accident" de chasse en Inde, alors qu'il s'agit d'un crime passionnel.
J'ai bien aimé l'écriture et les paysages de ce livre ; je n'ai pas aimé les personnages, ni l'histoire et ses drames.
