J'ai retrouvé avec plaisir le stupéfiant esprit de synthèse et les intuitions séduisantes de l'auteur de Sapiens, qui n'a pas son pareil pour dégonfler les baudruches des idéologies et des religions, surtout quand ces dernières engendrent, trop souvent hélas, souffrance et insensibilité au malheur d'autrui. Moins convaincu par son obsession de la fusion IA-biotech, qui serait sur le point de créer un monde entièrement régi par les algorithmes (peut-être par crainte de voir advenir une telle éventualité), je suis carrément resté pantois devant sa conclusion, qui préconise de s'asseoir pour écouter sa respiration : tout ce chemin pour en arriver à des billevesées new âge…
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