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Critique de So83
COUP DE FOUDRE!
Indéniablement ce roman figure désormais dans mon panthéon des livres chouchous. Quel bonheur fût cette lecture de 1200 pages qui se dévorent à en oublier tout ce qui vous entoure!
D'abord édité en France par @edpiranha, il était introuvable jusqu'à ce que les Editions Folio aient l'excellente idée de l'éditer au format poche. Et pour boucler l'histoire, j'ai eu le plaisir de rencontrer l'autrice (et oui, Nino Haratischwili est une femme!) lors de sa venue à la Fête du livre du Var cette année et lui exprimer, armée de mon anglais hésitant, mon immense plaisir de lectrice !
"La huitième vie (pour Brilka)" est une inoubliable saga qui commence en Géorgie au début du XXème siècle, aux prémices de la révolution bolchévique et nous conte les lignes de vie de la famille Iachi. Sur plus de cent ans et cinq générations, de Tbilissi à Moscou, Londres, Prague et Vienne, nous suivons une ambitieuse fresque inter-générationnelle qui traverse la grande Histoire de ce petit pays sous emprise soviétique.
Tout est réuni pour en faire une dense et palpitante aventure humaine : l'épaisseur donnée à tous les protagonistes, leurs ambivalences, la puissance des sentiments exprimés, la trame romanesque, les rebondissements qui jalonnent chaque chapitre, l'immersion dans un contexte historique précisément décrit sans jamais être ennuyeux, la grande qualité de l'écriture, l'absence de temps morts ou de longueurs...
Bref, vous l'aurez compris, j'ai ADORÉ ce roman auquel je ne trouve aucun défaut si ce n'est celui d'avoir une fin et de devoir quitter la famille Iachi. Je l'ai refermé émue, enrichie et fascinée par le talent de cette jeune autrice qui a écrit un roman d'une ampleur remarquable, magnifique.
Indéniablement ce roman figure désormais dans mon panthéon des livres chouchous. Quel bonheur fût cette lecture de 1200 pages qui se dévorent à en oublier tout ce qui vous entoure!
D'abord édité en France par @edpiranha, il était introuvable jusqu'à ce que les Editions Folio aient l'excellente idée de l'éditer au format poche. Et pour boucler l'histoire, j'ai eu le plaisir de rencontrer l'autrice (et oui, Nino Haratischwili est une femme!) lors de sa venue à la Fête du livre du Var cette année et lui exprimer, armée de mon anglais hésitant, mon immense plaisir de lectrice !
"La huitième vie (pour Brilka)" est une inoubliable saga qui commence en Géorgie au début du XXème siècle, aux prémices de la révolution bolchévique et nous conte les lignes de vie de la famille Iachi. Sur plus de cent ans et cinq générations, de Tbilissi à Moscou, Londres, Prague et Vienne, nous suivons une ambitieuse fresque inter-générationnelle qui traverse la grande Histoire de ce petit pays sous emprise soviétique.
Tout est réuni pour en faire une dense et palpitante aventure humaine : l'épaisseur donnée à tous les protagonistes, leurs ambivalences, la puissance des sentiments exprimés, la trame romanesque, les rebondissements qui jalonnent chaque chapitre, l'immersion dans un contexte historique précisément décrit sans jamais être ennuyeux, la grande qualité de l'écriture, l'absence de temps morts ou de longueurs...
Bref, vous l'aurez compris, j'ai ADORÉ ce roman auquel je ne trouve aucun défaut si ce n'est celui d'avoir une fin et de devoir quitter la famille Iachi. Je l'ai refermé émue, enrichie et fascinée par le talent de cette jeune autrice qui a écrit un roman d'une ampleur remarquable, magnifique.
