Qu'il est triste de savoir qu'on lit le dernier livre d'un auteur que l'on affectionne ! C'est du pur Harrison : nature, pêche, vin, bouffe, sexe. Des retours sur l'enfance où il se rappelle la cochonne que son père élevait. Les circonstances lui feront qu'il va acheter une truie qui va bientôt mettre bas. Des scènes drôles. Je referme la dernière page en disant : Adieu Monsieur Harrison.
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