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Critique de Fortuna
Siona est à Paris, installée dans l'île Saint Louis chez une famille de pasteurs. Elle s'occupe du petit Louis, orphelin de mère et donne des cours à sa jeune tante. L'occasion de découvrir la capitale en promenant le bambin, ravi d'écouter ses contes merveilleux venus de pays lointains.
Très vite elle acquiert son indépendance, vit de ses cours et prend une chambre puis un petit appartement. Tombée amoureuse d'un Hercule poète, Jean Métal, en fait Georges Vanor, elle le suit pendant trois ans dans les plaisirs et les fatigues de la vie parisienne...Son athlète préfère en fait les sorties et distractions à la vie monacale de l'écrivain...et sa créativité est au point mort.
Tombée malade d'épuisement, elle ressent alors le poids des sacrifices qu'elle a consentis au nom de l'amour et qui pèsent sur sa liberté et son propre avenir d'artiste. La rupture est à l'amiable, ils restent amis, et son poète en mal d'inspiration l'introduit chez les féministes...Elle va écrire des contes au charme oriental dans le journal de MargueriteDurand, la Fronde, alias la Catapulte...Une occasion pour elle de faire une peinture cruelle de ce milieu de bourgeoises émancipées exploitant la plume de modestes pigistes...Mais qui lui permet de commencer une carrière de femme de lettres !
Après un voyage en extrême Orient avec un insupportable amant , le fat Frédéric Sureau, elle rentre à Paris et se retrouve seule mais comblée. Ses textes ont été acceptés et vont être édités chez Calmann-Levy. La petite Siona de Jérusalem est devenue romancière et parisienne ! Elle a trouvé sa terre promise.
Très vite elle acquiert son indépendance, vit de ses cours et prend une chambre puis un petit appartement. Tombée amoureuse d'un Hercule poète, Jean Métal, en fait Georges Vanor, elle le suit pendant trois ans dans les plaisirs et les fatigues de la vie parisienne...Son athlète préfère en fait les sorties et distractions à la vie monacale de l'écrivain...et sa créativité est au point mort.
Tombée malade d'épuisement, elle ressent alors le poids des sacrifices qu'elle a consentis au nom de l'amour et qui pèsent sur sa liberté et son propre avenir d'artiste. La rupture est à l'amiable, ils restent amis, et son poète en mal d'inspiration l'introduit chez les féministes...Elle va écrire des contes au charme oriental dans le journal de MargueriteDurand, la Fronde, alias la Catapulte...Une occasion pour elle de faire une peinture cruelle de ce milieu de bourgeoises émancipées exploitant la plume de modestes pigistes...Mais qui lui permet de commencer une carrière de femme de lettres !
Après un voyage en extrême Orient avec un insupportable amant , le fat Frédéric Sureau, elle rentre à Paris et se retrouve seule mais comblée. Ses textes ont été acceptés et vont être édités chez Calmann-Levy. La petite Siona de Jérusalem est devenue romancière et parisienne ! Elle a trouvé sa terre promise.
