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Critique de Kochka94
Nous avons fait connaissance Benny Ruggieri, styliste de génie et accessoirement employé dans la pizzéria appartenant à sa très nombreuse famille italienne, dans le premier tome : ami fidèle de Will, le petit prodige de la musique, il est depuis chargé d'habiller le groupe Spiral. La lecture de ce premier tome n'est pas indispensable mais permet de mieux cerner Benny et de connaitre la jolie histoire de Rand et Will.
Benny, jeune gay flamboyant, aime la couleur, le style, la couture, teint une mèche de ses cheveux de la même couleur que ses chemises bigarrées, bref, il ne passe pas inaperçu. Il remplace Rand au Bowery Bagels, celui-ci se consacrant pleinement à sa carrière musicale qui démarre en flèche. Et le propriétaire du Bowery, George Gulden, est convaincu qu'il est parfait pour son fils, Ezekiel... et va tout faire pour les réunir, de façon certes bienveillante, mais aussi un peu lourde et maladroite.
Ezekiel Gulden, 4 fils de la fratrie, gay, est un requin de la finance. Froid, bourreau de travail, il traine une certaine rancoeur envers son père et traine toujours un peu la patte quand il s'agit d'aller le voir. Il prend toutefois le temps d'aller voir sa mère régulièrement, même si c'est un crève-coeur pour lui, elle souffre d'Alzheimer et ne se souvient pas de son fils... et pour finir, il vient de plaquer son petit-ami qui le trompait avec l'un de ses collègues de travail. Il rêve de se venger, de le récupérer, il ne sait pas trop en fait... et il n'a certes pas besoin que son père tente de lui coller ce jeune homme plutôt très (trop ?) efféminé dans les bras, qui n'est pas du tout son genre.
Mais pour apaiser un père un peu insistant, victime en plus d'un malaise, les deux hommes conviennent d'un rendez-vous et vont boire un verre ensemble, histoire de dire, on l'a fait et il se passe rien, voilà, fin de l'histoire... sauf que... en fait, Zeke trouve que passé les paillettes et l'eye-liner, Benny est un gars vraiment agréable, intéressant et ... attirant. Ils se revoient, par hasard, puis plus par hasard, et se rapprochent doucement... Et Zeke est perdu, il ne veut pas d'une relation avec Benny qui n'est pas son genre, malgré les conseils judicieux de son meilleur ami Carter, après tout, oublie le genre et laisse toi aller si tu es bien...
Même si j'ai regretté de n'avoir que le point de vue de Zeke, j'ai passé un super moment avec les deux hommes : la romance est douce, prend son temps, et laisse la part belle à l'émotion et à une évolution logique de leur romance, ils prennent le temps de se connaitre, de passer outre les préjugés et les "genre"... J'ai apprécié aussi de retrouver Will et Rand et je suis assez intriguée par Carter, le meilleur ami de Zeke, dont l'histoire fait l'objet du tome suivant. Je le lirais avec plaisir s'il est traduit.
Benny, jeune gay flamboyant, aime la couleur, le style, la couture, teint une mèche de ses cheveux de la même couleur que ses chemises bigarrées, bref, il ne passe pas inaperçu. Il remplace Rand au Bowery Bagels, celui-ci se consacrant pleinement à sa carrière musicale qui démarre en flèche. Et le propriétaire du Bowery, George Gulden, est convaincu qu'il est parfait pour son fils, Ezekiel... et va tout faire pour les réunir, de façon certes bienveillante, mais aussi un peu lourde et maladroite.
Ezekiel Gulden, 4 fils de la fratrie, gay, est un requin de la finance. Froid, bourreau de travail, il traine une certaine rancoeur envers son père et traine toujours un peu la patte quand il s'agit d'aller le voir. Il prend toutefois le temps d'aller voir sa mère régulièrement, même si c'est un crève-coeur pour lui, elle souffre d'Alzheimer et ne se souvient pas de son fils... et pour finir, il vient de plaquer son petit-ami qui le trompait avec l'un de ses collègues de travail. Il rêve de se venger, de le récupérer, il ne sait pas trop en fait... et il n'a certes pas besoin que son père tente de lui coller ce jeune homme plutôt très (trop ?) efféminé dans les bras, qui n'est pas du tout son genre.
Mais pour apaiser un père un peu insistant, victime en plus d'un malaise, les deux hommes conviennent d'un rendez-vous et vont boire un verre ensemble, histoire de dire, on l'a fait et il se passe rien, voilà, fin de l'histoire... sauf que... en fait, Zeke trouve que passé les paillettes et l'eye-liner, Benny est un gars vraiment agréable, intéressant et ... attirant. Ils se revoient, par hasard, puis plus par hasard, et se rapprochent doucement... Et Zeke est perdu, il ne veut pas d'une relation avec Benny qui n'est pas son genre, malgré les conseils judicieux de son meilleur ami Carter, après tout, oublie le genre et laisse toi aller si tu es bien...
Même si j'ai regretté de n'avoir que le point de vue de Zeke, j'ai passé un super moment avec les deux hommes : la romance est douce, prend son temps, et laisse la part belle à l'émotion et à une évolution logique de leur romance, ils prennent le temps de se connaitre, de passer outre les préjugés et les "genre"... J'ai apprécié aussi de retrouver Will et Rand et je suis assez intriguée par Carter, le meilleur ami de Zeke, dont l'histoire fait l'objet du tome suivant. Je le lirais avec plaisir s'il est traduit.
