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Critique de MaritzaJaillet
Ah quel plaisir de découvrir cet ouvrage, sachant que j'attendais avec impatience de lire la plume d'Adeline, surtout dans ce genre.
Nous faisons la connaissance de Stéphane, puis de certains spécialistes, de sa Tante margaux, d'Angélique, d'adolescents… bref il est entouré et pourtant bien seul. Déjà, qu'est-ce qu'il fait, enfermé, entre ces quatre murs ?
Au départ, tout lecteur et toute lectrice s'interrogera. Non même une gifle ou un accès de rage ne peut pas conduire à ça. Tout un mystère qui sera résolu, pour le coup, d'une manière assez expéditive vers la fin. Alors oui, on se doute que le cousin Mickaël est dans l'engrenage, évidemment, mais j'aurais aimé en savoir plus sur lui finalement. le résumé en dit déjà beaucoup, donc je vous laisserai enquêter vous-même.
L'intrigue tourne bien autour des roses, que ce soit dans les souvenirs, reliés aux parents de Stéphane, dans les lectures, les références, ou encore auprès de J, jusqu'à la fin, la fleur séchée a sa place sur le devant de la scène. Tout comme le dessin, et c'est sur ce point que j'ai trouvé dommage que la couverture ne le reflète pas.
Stéphane dessine, s'exprime. Il a beau être jeune, il maîtrise, et ce n'est pas le Boss qui dira le contraire, d'ailleurs je veux bien le portrait de sa fille !
On suit Stéphane, les autres personnages gravitant autour, le secouant, le suivant, l'aidant quand il s'agit des médicaments ou encore de le représenter. Sans spoil j'ai dit. C'est assez poignant, l'émotion était parfois présente et parfois c'était même trop sombre, dans le sens où je cherchais l'éclat des roses avant qu'elles sèchent. M visait peut-être trop haut, J revient peut-être un peu tôt aussi.
La suite sur ma page Maritza !
Lien : https://www.facebook.com/mar..
Nous faisons la connaissance de Stéphane, puis de certains spécialistes, de sa Tante margaux, d'Angélique, d'adolescents… bref il est entouré et pourtant bien seul. Déjà, qu'est-ce qu'il fait, enfermé, entre ces quatre murs ?
Au départ, tout lecteur et toute lectrice s'interrogera. Non même une gifle ou un accès de rage ne peut pas conduire à ça. Tout un mystère qui sera résolu, pour le coup, d'une manière assez expéditive vers la fin. Alors oui, on se doute que le cousin Mickaël est dans l'engrenage, évidemment, mais j'aurais aimé en savoir plus sur lui finalement. le résumé en dit déjà beaucoup, donc je vous laisserai enquêter vous-même.
L'intrigue tourne bien autour des roses, que ce soit dans les souvenirs, reliés aux parents de Stéphane, dans les lectures, les références, ou encore auprès de J, jusqu'à la fin, la fleur séchée a sa place sur le devant de la scène. Tout comme le dessin, et c'est sur ce point que j'ai trouvé dommage que la couverture ne le reflète pas.
Stéphane dessine, s'exprime. Il a beau être jeune, il maîtrise, et ce n'est pas le Boss qui dira le contraire, d'ailleurs je veux bien le portrait de sa fille !
On suit Stéphane, les autres personnages gravitant autour, le secouant, le suivant, l'aidant quand il s'agit des médicaments ou encore de le représenter. Sans spoil j'ai dit. C'est assez poignant, l'émotion était parfois présente et parfois c'était même trop sombre, dans le sens où je cherchais l'éclat des roses avant qu'elles sèchent. M visait peut-être trop haut, J revient peut-être un peu tôt aussi.
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