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Critique de johndiz
Nouveau saut dans le temps, nouveau changement de décors. On perçoit les conséquences du sentier d'or, le chaos dans lequel l'univers se trouve, cet univers dont un prend la mesure du gigantisme.
C'est le volume de Dune qui m'a le plus dérouté dans cette relecture. Je n'avais plus mes repères, l'Empereur Dieu a rebattu les cartes et il faut se réapproprier tout le contexte. Ce n'est pourtant pas négatif, c'est encore et toujours brillant.
J'ai eu un plaisir particulier à en apprendre plus sur le Bene Gesserit qui occupe une place centrale. J'ai toujours adoré ces discussions pleines de doubles sens, de calcules et de stratégies voilées, où chaque détail est décortiqué pour amener les personnages à des conclusions imparables. Ce tome en regorge. J'ai également eu du plaisir à retrouver des personnages attachants, là où ceux de l'Empereur Dieu étaient tous à leur manière désespérés.
Le seul bémol a été l'impression de lire un roman d'introduction. le contexte est brillamment mis en place de même que les mystères, mais l'enjeu n'est jamais très clair. Les personnages survivent et essaient de trouver leur place, mais restent des instruments dont on a de la peine à percevoir la finalité. J'imagine que tout sera plus clair dans La Maison des Mères.
C'est le volume de Dune qui m'a le plus dérouté dans cette relecture. Je n'avais plus mes repères, l'Empereur Dieu a rebattu les cartes et il faut se réapproprier tout le contexte. Ce n'est pourtant pas négatif, c'est encore et toujours brillant.
J'ai eu un plaisir particulier à en apprendre plus sur le Bene Gesserit qui occupe une place centrale. J'ai toujours adoré ces discussions pleines de doubles sens, de calcules et de stratégies voilées, où chaque détail est décortiqué pour amener les personnages à des conclusions imparables. Ce tome en regorge. J'ai également eu du plaisir à retrouver des personnages attachants, là où ceux de l'Empereur Dieu étaient tous à leur manière désespérés.
Le seul bémol a été l'impression de lire un roman d'introduction. le contexte est brillamment mis en place de même que les mystères, mais l'enjeu n'est jamais très clair. Les personnages survivent et essaient de trouver leur place, mais restent des instruments dont on a de la peine à percevoir la finalité. J'imagine que tout sera plus clair dans La Maison des Mères.
