Mon premier Herbert il y a quarante ans.
Il m'avait passionné et je devais rester durablement impressionné, voire quasi traumatisé par cette société humaine organisée à l'image d'une ruche.
Lors d'une relecture récente, je me suis rendu compte que j'avais complètement occulté les aspects plus terre à terre du roman qui entraînent le dénouement.
Rien à voir avec l'ampleur de "Dune" bien sûr mais il montre que le talent de l'auteur ne se cantonne pas à Arrakis.
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