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Critique de BazaR


Cette fois on commence à entrevoir le bout du tunnel multiversel.

D'abord, un autre larron est entré dans la bagarre. Par expérience, on sait qu'il vaut mieux ne pas le sous-estimer : c'est le Dr. Fatalis. A nouveau acoquiné à l'Homme -Molécule, comme au bon vieux temps des Guerres Secrètes, il a sa propre approche pour stopper la chute du multivers.

Ensuite la Suicide Squad (pas la vraie hein, elle est chez DC) envoyée à l'autre bout du multivers pour claquer le supposé responsable de tout ce fourbi – Thor (sans son marteau puisqu'il est indigne depuis quelque temps) et Hyperion en tête – tombe en fait sur les Prêtres Noirs, donc l'une des forces les plus destructrice d'univers. Et on apprend enfin qui est à leur tête… un héros connu. Paf le pavé ! Je n'en dirai pas plus.

Et c'est aussi l'affrontement final entre les Illuminati restant et les Avengers de Cap America, ce dernier dévoré d'envie de vengeance presque au point de faire passer la fin de l'univers au second plan. Bataille physique et stratégique pleine de rebondissements où chaque camp sort un atout de sa manche chacun son tour. Mais à ce jeu on ne bat pas Red Richards, même s'il n'avait pas prévu l'arrivée des Casques Bleus : les Avengers de Solarr.
Pat à la fin ? Il serait temps de s'occuper du vrai problème non ?

Jonathan Hickman est quand même un scénariste un peu dingue. Penser un truc pareil est assez dément. Théoriquement, ce qui se passe là obligerait à arrêter tous les autres titres Marvel, mais j'imagine que le Grand Economiste est beaucoup plus puissant que Galactus en la matière.
La suite dans le tome qui suit.
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