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Critique de Stoffia
ATLA : Imbalance est une histoire qui se déroule quelques années après la série télé Avatar The Last Airbender.
Le petit village de Cranefish Town (la future Republic City de Legend of Korra) est en industrialisation rapide depuis la fin de la guerre. Les firebenders et les earthbender se battent souvent au milieu de la ville. Les premiers étant des colons défaits, les seconds des habitants de la place depuis longtemps.
Pris entre les deux se trouvent la majorité de la population, les non-benders. Pour calmer les choses ils tentent de faire interdire le bending en public mais cela ne fait qu'alimenter la tension dans la ville où éclate une petite guerre civile entre benders et non-benders.
Parce que, voyez-vous, l'industrialisation menace les privilèges des benders. Les machines, manipulées par des non-benders, peuvent faire le travail qui assurait précédemment la suprématie des benders.
Bref, encore une histoire étonnement politique, pleine de dilemmes moraux et de worldbuiding original pour la franchise Avatar.
Cela fait du bien de retrouver les personnages de la série. Leur personnalité est fidèle.
Mais je dois ajouter une petite critique de puriste : Il y a un chat dans le comic. Pas un chat-canard. Pas un chat-tortue. Un.... Chat! Comment est-ce possible? O.o
Le petit village de Cranefish Town (la future Republic City de Legend of Korra) est en industrialisation rapide depuis la fin de la guerre. Les firebenders et les earthbender se battent souvent au milieu de la ville. Les premiers étant des colons défaits, les seconds des habitants de la place depuis longtemps.
Pris entre les deux se trouvent la majorité de la population, les non-benders. Pour calmer les choses ils tentent de faire interdire le bending en public mais cela ne fait qu'alimenter la tension dans la ville où éclate une petite guerre civile entre benders et non-benders.
Parce que, voyez-vous, l'industrialisation menace les privilèges des benders. Les machines, manipulées par des non-benders, peuvent faire le travail qui assurait précédemment la suprématie des benders.
Bref, encore une histoire étonnement politique, pleine de dilemmes moraux et de worldbuiding original pour la franchise Avatar.
Cela fait du bien de retrouver les personnages de la série. Leur personnalité est fidèle.
Mais je dois ajouter une petite critique de puriste : Il y a un chat dans le comic. Pas un chat-canard. Pas un chat-tortue. Un.... Chat! Comment est-ce possible? O.o
