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Critique de loreleirocks
Une petite étape par la case romance ne fait de mal à personne. Certainement pas quand elle est légère, drôle et positive. Et qu'elle suit un thriller malsain dont on veut secouer les restes glauques et déplaisants.
On retrouve ici les notes habituelles de la romance, la trentenaire célibataire sympathique malchanceuse en amour (on la quitte à multiples reprises pour diverses raisons plutôt égoïstes), avec une famille un peu loufoque qui accentue ses déboires (maman en crise de la cinquantaine, papa qui évite de prendre position, soeur jumelle à la réussite accentuant ses manques, petit frère qui refuse de grandir), quelques moments bien maladroits et humiliants en public devant une petite ville qu'elle aime et pour laquelle elle ne manque pas de coups de main, le drame à la moitié du livre (ici double, petite larme pour le compagnon canin), et évidemment, une flopée de rencards bancals et deux hommes.
Les passages avec le prêtre irlandais sont, ma foi, embarrassants ; franchement, le faible pour le prêtre catholique pour lequel elle se démène, c'est un peu too much... d'autant plus qu'il abuse bien de sa gentillesse et de sa générosité. Pas très catholique tout ça.
Et bon, il y a le mâle rude. Et le dieu de la littérature romantique récréative sait à quel point je les affectionne! Ici, c'est un pêcheur de homard du Maine, avec un passé de divorcé mystérieux (oh lalala! divorce! paroisse catholique!), une fille ado vivant du l'autre côte, une tendance à 5 mots par jour accompagnés de froncement de sourcils et bien sûr des tas de malentendus, cachant tous ses efforts pour s'attacher la bavarde propriétaire du "diner" de la ville (ouais, j'avais oublié, y'a des histoires de pies, de muffins et de pancakes, et c'est pour moi un point particulièrement positif, que les personnages aiment manger et le disent, allez comprendre...).
En somme, une romance vite lue, avec de quoi vous faire sourire, verser une larme (ou pas, hein), et vous réchauffer le coeur avec un message tout simple et tout doux et sucré, sans être non plus tout guimauveux et gluant (la fin très courte et pas du genre à vous détailler les 20 prochaines années mais qui vous laisse imaginer, si vous le voulez, les épreuves et les bonnes choses de l'avenir): y'en a pour tout le monde, patience, demain est un autre jour.
On retrouve ici les notes habituelles de la romance, la trentenaire célibataire sympathique malchanceuse en amour (on la quitte à multiples reprises pour diverses raisons plutôt égoïstes), avec une famille un peu loufoque qui accentue ses déboires (maman en crise de la cinquantaine, papa qui évite de prendre position, soeur jumelle à la réussite accentuant ses manques, petit frère qui refuse de grandir), quelques moments bien maladroits et humiliants en public devant une petite ville qu'elle aime et pour laquelle elle ne manque pas de coups de main, le drame à la moitié du livre (ici double, petite larme pour le compagnon canin), et évidemment, une flopée de rencards bancals et deux hommes.
Les passages avec le prêtre irlandais sont, ma foi, embarrassants ; franchement, le faible pour le prêtre catholique pour lequel elle se démène, c'est un peu too much... d'autant plus qu'il abuse bien de sa gentillesse et de sa générosité. Pas très catholique tout ça.
Et bon, il y a le mâle rude. Et le dieu de la littérature romantique récréative sait à quel point je les affectionne! Ici, c'est un pêcheur de homard du Maine, avec un passé de divorcé mystérieux (oh lalala! divorce! paroisse catholique!), une fille ado vivant du l'autre côte, une tendance à 5 mots par jour accompagnés de froncement de sourcils et bien sûr des tas de malentendus, cachant tous ses efforts pour s'attacher la bavarde propriétaire du "diner" de la ville (ouais, j'avais oublié, y'a des histoires de pies, de muffins et de pancakes, et c'est pour moi un point particulièrement positif, que les personnages aiment manger et le disent, allez comprendre...).
En somme, une romance vite lue, avec de quoi vous faire sourire, verser une larme (ou pas, hein), et vous réchauffer le coeur avec un message tout simple et tout doux et sucré, sans être non plus tout guimauveux et gluant (la fin très courte et pas du genre à vous détailler les 20 prochaines années mais qui vous laisse imaginer, si vous le voulez, les épreuves et les bonnes choses de l'avenir): y'en a pour tout le monde, patience, demain est un autre jour.
