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Critique de FrancoMickey
Quoi de mieux qu'une petite critique accompagnée d'un délectable verre de rouge pour célébrer ma première soirée « reconfinement » dans notre maison secondaire de campagne ? Non j'déconne, c'est juste un jeudi soir « métro, boulot, dodo » habituel précédent un vendredi éreintant pré-weekend (pour le coup confiné hélas) et puis de toute façon nous n'avons pas de résidence champêtre.
Quand on est sur une bonne lancée il ne faut surtout pas l'interrompre à ce qu'on dit. On enchaine donc avec le second tome de Locke & Key qui bénéficie toujours autant des meilleurs auspices. A nouveau à la barre, le rejeton du King confirme son éminente et innée prédisposition à narrer avec une inspiration céleste de fascinants contes fantasmagoriques.
Joe Hill continue de creuser, avec une remarquable constance, un sillon noir dans son substantiel monde imaginaire aux teintes gothiques. Mais tout en étoffant son univers féerique, le scénariste dissipe progressivement le voile enveloppant quelques intrigues nébuleuses amorcées dans le premier opus, en l'occurrence les mystérieuses clés et l'intrigant Zack Wells alias la dame du puits.
Gabriel Rodriguez signe toujours des planches vives et ultra léchées, appuyées par un trait net et précis, fourmillant de détails et regorgeant de mille couleurs. Sans être sur le créneau des maestri du dessin, l'illustrateur livre un travail soigné au visuel des plus agréables (avec toutefois moins d'hémoglobine pour les intéressés).
Si vous hésitiez à vous lancer dans cette saga, n'attendez plus et embarquez dans cette prodigieuse odyssée chimérique qui vous mènera aux confins de votre imagination. Que la chasse aux clés commence.
Quand on est sur une bonne lancée il ne faut surtout pas l'interrompre à ce qu'on dit. On enchaine donc avec le second tome de Locke & Key qui bénéficie toujours autant des meilleurs auspices. A nouveau à la barre, le rejeton du King confirme son éminente et innée prédisposition à narrer avec une inspiration céleste de fascinants contes fantasmagoriques.
Joe Hill continue de creuser, avec une remarquable constance, un sillon noir dans son substantiel monde imaginaire aux teintes gothiques. Mais tout en étoffant son univers féerique, le scénariste dissipe progressivement le voile enveloppant quelques intrigues nébuleuses amorcées dans le premier opus, en l'occurrence les mystérieuses clés et l'intrigant Zack Wells alias la dame du puits.
Gabriel Rodriguez signe toujours des planches vives et ultra léchées, appuyées par un trait net et précis, fourmillant de détails et regorgeant de mille couleurs. Sans être sur le créneau des maestri du dessin, l'illustrateur livre un travail soigné au visuel des plus agréables (avec toutefois moins d'hémoglobine pour les intéressés).
Si vous hésitiez à vous lancer dans cette saga, n'attendez plus et embarquez dans cette prodigieuse odyssée chimérique qui vous mènera aux confins de votre imagination. Que la chasse aux clés commence.
