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Critique de autempsdeslivres
Victoria Hislop, dans La ville orpheline, nous raconte le destin de Chypre, à travers la ville de Famagouste et de deux familles chypriotes grecque et truc, lors de sa division en deux territoires distincts.
J'ai apprécié et trouvé que c'était une bonne idée la présence d'une carte représentant l'île ainsi que des repères chronologiques se référant aux événements antérieurs à l'histoire afin que le lecteur comprenne mieux. On sent qu'il y a eu un véritable travail de recherche sur cette partie de l'histoire de Chypre de la part de l'auteur.
Pour ce roman, Victoria Hislop a changé certaines de ses habitudes ainsi on ne retrouve pas en introduction le passage habituel en italique que l'on retrouvera un peu plus tard dans le roman.
Cependant, j'ai été assez déçue à la fin de l'histoire car je ne me suis pas attachée aux personnages, à part Hüseyin (et encore), même lorsque certains vivent des expériences traumatisantes comme Aphroditi alors que l'on sent la tentative de l'auteur de faire passer un message de fraternité à travers ces deux familles. Elle tente de montrer qu'il n'existe pas tant de différences de culture (l'exemple du nom du plat qui diffère seulement par son appellation) et que l'on est capable d'être soudés et unis lors d'évènements aussi soudains et violents. J'ai trouvé par contre intéressant le repentir de certains personnages comme pour Christos qui comprend que leurs actions ont déclenché quelque chose de bien plus grand et qu'ils n'imaginaient pas.
Bref, il me reste cet arrière goût de déception à la fin de cette lecture malgré les nombreuses informations que l'on apprend sur Chypre.
J'ai apprécié et trouvé que c'était une bonne idée la présence d'une carte représentant l'île ainsi que des repères chronologiques se référant aux événements antérieurs à l'histoire afin que le lecteur comprenne mieux. On sent qu'il y a eu un véritable travail de recherche sur cette partie de l'histoire de Chypre de la part de l'auteur.
Pour ce roman, Victoria Hislop a changé certaines de ses habitudes ainsi on ne retrouve pas en introduction le passage habituel en italique que l'on retrouvera un peu plus tard dans le roman.
Cependant, j'ai été assez déçue à la fin de l'histoire car je ne me suis pas attachée aux personnages, à part Hüseyin (et encore), même lorsque certains vivent des expériences traumatisantes comme Aphroditi alors que l'on sent la tentative de l'auteur de faire passer un message de fraternité à travers ces deux familles. Elle tente de montrer qu'il n'existe pas tant de différences de culture (l'exemple du nom du plat qui diffère seulement par son appellation) et que l'on est capable d'être soudés et unis lors d'évènements aussi soudains et violents. J'ai trouvé par contre intéressant le repentir de certains personnages comme pour Christos qui comprend que leurs actions ont déclenché quelque chose de bien plus grand et qu'ils n'imaginaient pas.
Bref, il me reste cet arrière goût de déception à la fin de cette lecture malgré les nombreuses informations que l'on apprend sur Chypre.
