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Critique de Shaynning
Seconde partie des aventures de l'apprenti-nécromancien #FuturSeigneurMaléfique, le tome deux était fort intéressant et très créatif.
Fingus Malister a redonné vie à son grand-père, ou plutôt à ce qu'il en reste. Bien décidé à faire de son petit-fils le digne héritier des Malister, le crâne au monocle lui confie la tâche d'aller chercher le M.É.C.H.A.N.T, l'ultime grimoire de magie noire, gardé par le Monarque des Saules, entité de vent et seigneur de l'équinoxe d'automne. Avec ses éternels gadgets foireux, sa maladresse et l'indélicatesse qu'on lui connait, Fingus se lance une fois de plus dans un plan fort dangereux, aux limites du temps et de l'espace. Un voyage dans une contrée magnifique vous attends.
J'ai définitivement préféré ce deuxième tome, en grande partie parce que le royaume du Monarque des Saules est véritablement fascinant et bien pensé, mais aussi à cause de la présence de Grand-Papa Malister, le crâne bavard, aussi machiavélique qu'attachant. Au fond, il a un bon fond, preuve en est de son attachement pour son petit-fils. Nautilus aussi me semble très sympathique.
Ce second tome est également plus "profond", il interroge sur la valeur du présent, sur les raccourcis et la hâte des plus jeunes à grandir, sur la notion de famille et de sacrifice, la solitude ( on sens dans ce tome que Fingus en a souffert) ainsi que sur les liens d'amitié. Dans ce tome, Fingus est appelé à prendre conscience de ce qui compte pour lui et sur ce qu'il est prêt à faire en tant que conjurateur, sur le type de magie qu'il est prêt à employer.
D'ailleurs, à ce propos, merci à l'auteur d'avoir élaborer une magie Verte! Ça mériterait de plus amples explorations.
La fin était excellente, mais elle arrive tôt. Je pense que cette série aurait pu être plus longue, qu'il y avait matière à faire d'autres aventures à Fingus et ses amies. Surtout avec une certaine miss arbalète qui apparait à la fin et qui est un sacré numéro. Et puis, l'épilogue démontre bien que Fingus a vécu encore bien des choses. Mais bon, je respecte l'auteur d'avoir décidé d'arrêter là, il a tout-de-même fait une bonne duologie jeunesse, très divertissante et humoristique.
Au final, c'est une série qui arrive à se démarquer, en étant aussi addictif que pertinent. Son message est positif, ses personnages humains et évolutifs, le contexte sort de l'ordinaire. C'est un univers ténébreux qui rend joyeux. Sacré contraste, tout de même!
Fingus Malister a redonné vie à son grand-père, ou plutôt à ce qu'il en reste. Bien décidé à faire de son petit-fils le digne héritier des Malister, le crâne au monocle lui confie la tâche d'aller chercher le M.É.C.H.A.N.T, l'ultime grimoire de magie noire, gardé par le Monarque des Saules, entité de vent et seigneur de l'équinoxe d'automne. Avec ses éternels gadgets foireux, sa maladresse et l'indélicatesse qu'on lui connait, Fingus se lance une fois de plus dans un plan fort dangereux, aux limites du temps et de l'espace. Un voyage dans une contrée magnifique vous attends.
J'ai définitivement préféré ce deuxième tome, en grande partie parce que le royaume du Monarque des Saules est véritablement fascinant et bien pensé, mais aussi à cause de la présence de Grand-Papa Malister, le crâne bavard, aussi machiavélique qu'attachant. Au fond, il a un bon fond, preuve en est de son attachement pour son petit-fils. Nautilus aussi me semble très sympathique.
Ce second tome est également plus "profond", il interroge sur la valeur du présent, sur les raccourcis et la hâte des plus jeunes à grandir, sur la notion de famille et de sacrifice, la solitude ( on sens dans ce tome que Fingus en a souffert) ainsi que sur les liens d'amitié. Dans ce tome, Fingus est appelé à prendre conscience de ce qui compte pour lui et sur ce qu'il est prêt à faire en tant que conjurateur, sur le type de magie qu'il est prêt à employer.
D'ailleurs, à ce propos, merci à l'auteur d'avoir élaborer une magie Verte! Ça mériterait de plus amples explorations.
La fin était excellente, mais elle arrive tôt. Je pense que cette série aurait pu être plus longue, qu'il y avait matière à faire d'autres aventures à Fingus et ses amies. Surtout avec une certaine miss arbalète qui apparait à la fin et qui est un sacré numéro. Et puis, l'épilogue démontre bien que Fingus a vécu encore bien des choses. Mais bon, je respecte l'auteur d'avoir décidé d'arrêter là, il a tout-de-même fait une bonne duologie jeunesse, très divertissante et humoristique.
Au final, c'est une série qui arrive à se démarquer, en étant aussi addictif que pertinent. Son message est positif, ses personnages humains et évolutifs, le contexte sort de l'ordinaire. C'est un univers ténébreux qui rend joyeux. Sacré contraste, tout de même!
