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Critique de Lunartic


Cette chronique, je la repousse depuis la fin de l'été car mon coeur ne s'est pas véritablement remis de cette lecture coup de poing. Et, pour être tout à fait honnête docteur, je n'ai pas envie de panser mes blessures. Je n'ai pas envie de me soigner, non, de cette folie purement dantesque et amoureuse qui me prend comme une subite poussée de fièvre quand je pense à ce roman et à l'effet qu'il a eu sur moi. Il faut savoir qu'avant de me plonger à corps perdu entre ces pages qui résonnent de splendides notes de musique, je ne connaissais Colleen Hoover que de réputation et puis, la new romance, ce n'était pas trop ma tasse de thé, non. Rien que d'y penser, je poussais un soupir bien agacé et je ne voulais plus me tracasser avec ça. Me baser sur des préjugés sans oser juger par moi-même ? J'ai donné, merci, et je reconnais désormais mes erreurs. Une expérience de folie, de malade mental, comme Maybe Someday, on ne peut pas la laisser passer sous son nez. Point à la ligne. Enfin, façon de parler. Il n'y a pas si longtemps, on m'a affirmé que ce livre, c'était THE roman, et ça, j'adhère carrément. du moins, dans sa catégorie, Maybe Someday met la barre très, très haut. A quoi je m'attendais en achetant ce roman ? Je ne saurais le dire. Sûrement à quelque chose qui se lise bien, qui passe crème, qui remplisse le job le temps d'une lecture sympatoche et un peu clichée sur les bords. Autant vous dire que ce livre a su clairement aller au-delà de mes attentes, jusqu'aux étoiles. J'en suis restée scotchée le derrière sur ma chaise de bureau, les yeux brillants de fatigue d'avoir enchaîné les pages aussi vite mais aussi d'un enchantement incroyablement fabuleux. Si vous êtes dans mon état d'esprit d'antan en lisant ces lignes à l'heure où je vous parle, ARRÊTEZ. TOUT DE SUITE. La chute n'en sera que plus douloureuse et la claque cuisante et monumentale. Car oui, je m'en suis pris une belle flopée dans la tronche, c'est pas des craques. On vous a promis des montagnes russes ; préparez-vous aux loopings, à l'estomac qui remonte, au coeur qui manque de faire une tachycardie, à la voix qui se brise, aux tympans qui vrillent et tout le tsouin-tsouin qui va avec. le manège de la vie démarre avec Maybe Someday. Attention, chamboulement qui va vous remuer vos émotions au plus profond. Remous garantis.

Le moins qu'on puisse dire, c'est que l'héroïne de cette histoire abracadabrantesque, la jeune et jolie Sydney, va être embarquée, tout comme nous, pauvres fous, dans un tourbillon qui va ébranler toutes ses certitudes et raviver ses pires angoisses. Pour vous présenter le tableau, le jour de son anniversaire, soit une année de plus au sein de ce monde fou, fou, fou, notre adorable jeune femme va accumuler les galères de façon cruellement ironique. Si tout cela est un énorme farce, elle est sacrément mauvaise ! Malheureusement, ce n'est guère une caméra cachée et Sydney va être réveillée de son rêve trop beau pour être vrai en compagnie des deux personnes qu'elle aimait le plus au monde grâce à un seau d'eau diantrement froide. Qui va littéralement se matérialiser en pluie battante qui va bien traduire l'ambiance pourrie de la journée qui vient de s'écouler et d'une amie et amoureuse au coeur brisé qui aimerait bien se noyer dans ses larmes. Sydney va cependant avoir le courage face aux odieux traîtres, sans gênes et scrupules, de garder la tête haute, et avoir l'audace admirable et la dignité de claquer la porte. Il faut en avoir de la volonté et de l'amour de soi, pour ne pas se laisser écraser par les actes ignobles qui viennent cracher sur nos existences et les entacher. Ce même entêtement et sa fierté vont également lui interdire de recourir à ses parents dans cette situation extrême. Eux qui n'ont jamais cru en elle et qui ne manqueraient pas cette glorieuse opportunité de lui prouver que, d'avoir voulu s'affranchir de sa famille friquée pour obtenir son indépendance et de mener les études qu'elle souhaitait à bien dans un cocon qui lui convient, de réussir par elle-même, était voué d'avance à l'échec. Vous l'aurez compris,-Sydney m'a d'emblée plu, elle est hyper attachante. Elle est une battante, une optimiste qui se bat pour ses rêves, une fille droite et bien dans ses baskets, les pieds sur terre et qui n'a besoin de personne pour aller de l'avant. Enfin, sur ce dernier point... Etant à la rue et sans porte-monnaie, il va bien falloir qu'elle se remette sur pied en ce qui est de faire confiance aux autres et de pouvoir se reposer sur eux.

Alors que le temps dehors est aussi gris que son moral dans les chaussettes, une personne peu commune va apporter le parapluie qu'il convient pour se protéger de cette pluie incessante et incisive, qui entaille la peau telle la trahison encore toute fraîche et amère en bouche. Et c'est ainsi que je vous souhaite la bienvenue dans le foyer des attachants personnages que sont Bridgette, Warren et Ridge, mes amis ! Alors que Sydney est en train de perdre pied dans son petit univers qu'elle pensait bien connaître, ces trois âmes charitables vont l'accueillir au sein de leur nid bordélique, bruyant, mais aussi très réconfortant et qui va apporter du baume au coeur à notre héroïne, qui a bien besoin d'affection, d'amis sincères et d'être ragaillardie. Attention, on n'est pas chez les Bisounours, donc les portes qui claquent, les voix qui s'élèvent et les crises de nerfs et de larmes prendront aussi place au sein de cette colocation houleuse mais qui est en réalité l'évidence même. J'aurais voulu ne jamais quitter cet appartement, pour un temps, il est devenu comme ma seconde maison. En franchir le seuil pour lui tourner le dos à jamais fut très difficile mais, in fine, ce fut pour la bonne cause... Vous allez passer par toute une palette d'émotions qui irradient à leur maximum d'éclat dans ce lieu cosy, spontané, vivant. Un personnage à lui tout seul,-ou presque. Cet endroit est tellement singulier, il se démarque de son voisin d'en face qui a pourtant tout déclenché, avec son balcon très enclin à répondre à son interlocuteur à la guitare, et avec cet anniversaire complètement gâché qui s'en est suivi... Complètement, vraiment ? Certes, Sydney a vécu en une journée des galères et des blessures qui suffisent pour une existence entière mais toutes les souffrances endurées la mènent à un très beau cadeau humain qui vous rendra, complètement et pour de vrai cette fois, gaga et vous serez en amour total vous verrez : Ridge, aka l'un de mes nouveaux book boyfriends (oui-oui).

Si Sydney se voit offrir un havre de paix fébrile mais sincère face à la tornade qui se déchaîne sur son coeur meurtri et sur sa petite vie qui n'avait rien demandé, c'est grâce à la générosité et à la gentillesse de Ridge.-Ce formidable garçon est un phénomène, et dans le bon sens du terme s'entend. Au départ, il est le jeune homme absolument charmant et mystérieux qui joue de la musique sur son balcon, tel un véritable prodige dont la musique est la plus merveilleuse des symphonies à nos oreilles. Je le voyais devant mes yeux. Je précise que j'appréciais confortablement le spectacle. Et mon ouïe y trouvait elle aussi son compte. Vos cinq sens (quoique...) seront en alerte durant la lecture de ce roman purement stupéfiant, surprenant, à couper le souffle. Cependant, cela n'est que la carapace certes extrêmement plaisante à regarder mais qu'on meure d'envie de percer à jour. Alors qu'on s'identifie très facilement à Sydney dès le départ et qu'on arrive facilement à la cerner, Ridge, quant à lui, va se déployer au fil des pages et des événements perturbateurs sous nos yeux ébahis. J'aime à comparer ce garçon à une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber (merci Forrest). de figure inaccessible et fascinante, Ridge va devenir un être humain en chair et en os, dont la compassion, la sincérité et l'envie de bien faire et de ne pas laisser tomber les autres, ni les blesser, sont profondément touchants et même bouleversants. Qui plus est, sa particularité fait sa force, forge son caractère et sa personnalité de garçon débrouillard, craquant et terriblement talentueux. La double narration, qui nous immerge dans et alterne constamment entre les points de vues de nos deux héros à l'histoire magnifique mais semée d'embûches, va nous permettre de nous rendre compte, à travers leurs pensées, à quel point ils sont sur la même longueur d'onde. Tous les deux ont un talent qui sommeille en eux, une pépite qui ne demande qu'à briller et illuminer tout son petit monde de par sa force, son authenticité et sa beauté. D'autre part, ils souffrent tous les deux de remises en question qui les rongent, car la vie ne les a pour l'instant guère épargnés à divers niveaux et ces démons du passé les hantent encore et toujours. Cependant, leur sens de l'honneur et leur humanité désarmante, leurs valeurs bien enracinées, vont les sauver et devenir leur bouée de sauvetage, tout comme ils seront la bouée de sauvetage l'un de l'autre. Tandis que les paroles de chansons s'égrainent, que la vie fait son petit bonhomme de chemin dans cet appartement qui résonne de fous rires, qui cache des farces puériles et inventives à chaque recoin, qui va aussi connaître ses orages et ses coups de théâtre, on assiste à la naissance d'une complicité entre deux êtres dont les destins s'entremêlent absolument à couper le souffle.

En parlant de ça, je dirais que, Maybe Someday, c'est comme faire de l'apnée. Pendant des heures entières.-Et attention, vous n'aurez pas le temps d'aller quérir une quelconque bouteille à oxygène pour sauver votre peau. Comme Sydney qui se retrouve pieds et poings liés dans la mouise d'une relation compliquée après s'en être sortie d'une autre avec pertes et fracas, ébranlée, nous, lecteurs malmenés et pantois, nous retrouvons pieds et poings liés au beau milieu de ce galimatias d'émotions fortes, intenses, de relations inextricables et de musique qui perce le mur du son, et celui de l'âme. Vous ne pouvez en réchapper indemnes de ce bourbier et vous en serez reconnaissants. Maybe Someday, c'est un roman qui ne se lit pas, mais qui se VIT. A chaque mot, à chaque situation, à chaque sentiment ressenti, à chaque sourire, chaque regard renvoyé, chaque battement de coeur loupé ou plus intense, chaque toucher, chaque chanson, chaque oreille collée au sol, chaque larme, chaque cri, chaque texto, chaque accolade, chaque joue qui se met à s'empourprer. On y est dans cette histoire, des pieds à la tête. C'est réel, c'est palpable, c'est crédible, c'est devant nos yeux, c'est là. On est témoins et acteurs de ce pur moment de magie, où l'amour passionnel explose de tous les pores et où nos yeux ne tarderont pas à s'embuer sous le coup de l'émotion qui nous assaille, qui nous submerge et nous laisse, pauvre loque dans son lit, le livre dans des mains tremblantes comme des castagnettes, incapable de bouger ou d'émettre le moindre son. Des mouchoirs à portée de main sont donc fortement recommandés ainsi qu'un défibrillateur, on n'est jamais trop prudents... Votre mâchoire risque aussi de se décrocher, et de se distendre à force de trop sourire, à tel point que cela soit plus fort que la lumière de l'électricité. Ce roman se croque à pleines dents, il nous immerge dans cette histoire incroyable mais vraie, qui pourrait l'être, vraie, car imprégnée du matériau humain. Or, cette histoire d'amitié, d'amour et d'attirance palpable, c'est celle en or, magnifique et unique, de Ridge et Sydney. Je vous souhaite de connaître le même sort favorable après des épreuves chaotique, mais ouvrez bien les yeux, car la vie peut vous offrir de sacrées surprises, comme dans ce roman, qui a su bafouer mes appréhensions une par une.

Certes, les comportements des personnages pourront vous faire lever les yeux au ciel parfois. Bien que plus âgés, ils sont souvent très immatures et dignes d'un adolescent qui n'a pas encore connu la puberté et qui maîtrise mal ses hormones. Les engueulades et rabibochements effusifs de Warren et Bridgette au pieu en sont un exemple assez éloquent. le caractère tout feu tout flamme de cette dernière, impulsive, tantôt détachée, tantôt exaspérée, sa froideur affective, pourra déplaire à certains. Mais les apparences et les premières impressions sont trompeuses. Bridgette a au fond un très beau coeur et une ténacité sans bornes. Elle est impressionnante, géniale, et elle reste en tout temps fidèle à elle-même. C'est comme ça que Warren l'aime, sa teigne colérique, distante, franchement insupportable par moments, qui ne tourne pas sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler, il l'a dans la peau jusqu'à l'os, et moi aussi je l'aime, ce tempérament de dure à cuire qui dissimule ses blessures dans un corps si mince et petit en totale disproportion. Quant à Warren, ce type est beaucoup plus que ce qu'on pourrait croire au départ. On pourrait le penser en effet être le colocataire un peu chiant, pour ne pas dire lourdaud, avec ses réflexion à deux balles et sa nonchalance à draguer et flirter avec tout ce qui bouge (abruti, va...). Et pourtant, ce type est un génie. Sa relation quasi fraternelle avec Ridge est tout bonnement sublime. Ils se sont toujours épaulés l'un l'autre, tant en amour qu'en musique (n'est-ce pas la même chose au fond ?), ils ne se sont jamais séparés en pratiquement douze ans et le socle de leur amitié et de leur loyauté l'un envers l'autre est solide comme un roc. Warren est en réalité un gars profond, sensible, plein de bon sens et qui va devenir un pilier, un phare très important pour Sydney, malgré des maladresses parfois clairement déplacées par moments. Des baffes se sont perdues alors, mais tout est pardonné et je peux comprendre que son besoin de protéger Ridge de tout danger ait dépassé son amitié encore naissante et fébrile avec Sydney au stade de ses priorités. La nécessité et le désir de préserver un autre personnage va se faire sentir de la part de cet ami extrêmement loyal, au point que cela force l'admiration. Et cet autre personnage est incarné par la présence de Maggie.

Un triangle amoureux se forme rapidement et cette perspective était loin de m'enchanter au départ. J'abhorre cette stratégie scénaristique en général, en particulier dans les Young Adult où elle pullule comme de la mauvaise herbe ; or Colleen Hoover a réussi l'exploit de miser sur cette carte risquée (du moins avec moi) et d'en sortir gagnante haut la main. Si l'incapacité de Ridge à faire un choix net concernant le chemin que son coeur suivra m'a assez souvent démangé, fait grincer les dents et taper du pied, cela est loin d'être de la purée de pois incompréhensible. le coeur tiraillé de Ridge entre les deux coeurs purs de Sydney et Maggie n'a pas souffert de mon courroux très longtemps. J'avais pourtant essayé de rendre les choses plus faciles. En haïssant Maggie de toutes mes forces par exemple, afin de la renvoyer d'où elle venait. Quel genre de monstre aurais-je été alors ? Cette fille est un petit rayon de soleil, belle, intelligente, aimante, rayonnante, festive et enjouée, pleine de vie et de sollicitude, une vraie amie, une petite amie dévouée et attentionnée, drôle, souriante et tout à fait adorable et attachante. Me voilà faite comme un rat ! Mon esprit malveillant a bien retenu la leçon. Mais je ne m'y trompe pas : si la relation entre Maggie et Ridge est émouvante et fondée sur une bienveillance et un amour qui vont droit au coeur, les véritables moments de douceur et de tragique qui vont vous laisser hagards, paumés, en sueur, le coeur battant et le souffle court, les poils des bras dressés, ce sont bien ceux entre Ridge et Sydney, qui vont composer des chansons avec leurs tripes, leur vécu, et le courant fructifiant et en tout point émotionnellement électrocutant qui passe entre eux. Il y a un tel respect et déférence de ces trois personnages les uns envers les autres que je n'ai pas pu leur en vouloir de tisser un triangle aussi douloureux et spécial pour nos pauvres nerfs et pour leurs états d'âmes. Des liens indestructibles et complexes les relient tous les trois dans cette belle galère du coeur qui a ses raisons que la raison ignore, et jusqu'au bout, j'ai été repoussée dans mes retranchements. Pour le dire carrément, j'avais la sensation d'avancer à tâtons dans ce tunnel sombre dont la faible lumière tout au bout était la seule chose me motivant à m'élancer vers elle. Je me demandais si la fin heureuse qui coulait de source et que je souhaitais de ton mon être était vraiment la meilleure solution à l'équation Maybe Someday, si ce n'était pas réfléchir et agir par facilité et envie d'une lecture guimauve qui vous réchauffera un peu le coeur. Bref, ne vous attendez pas à quelque chose d'évident et de simple. La vie est escarpée et le chemin ne se grimpe pas sans peine, il faut mériter l'arrivée... Tout ça pour vous dire qu'avec Maybe Someday, vous allez avoir le coeur serré, un grand besoin de mouchoirs pour essuyer vos pleurs (notamment en découvrant l'origine du nom du groupe, Sounds of Cedar), et par-dessus le marché, vous allez avoir l'impression de courir un marathon, mais les nausées, les courbatures, les pertes de connaissance et les poings de côté n'auront pas été infligés en vain à votre petit corps meurtri.

Vous l'aurez compris, Maybe Someday, c'est une intrigue qui fait mouche et qui s'empare de votre coeur sans jamais vous le rendre, mais c'est aussi une autrice qui se cache derrière : la femme géniale qu'est Colleen Hoover, véritable reine et génie des sentiments humains qui nous envoie son histoire en pleine poire, à l'aide d'une écriture qui va droit au but et qui ne nous épargne nullement. C'est simple : quand on lit du Colleen Hoover,-on ne voit pas le temps passer, il nous est impossible de lâcher le livre avant le point de la fin, tant son écriture est limpide, claire comme de l'eau de roche. Sa plume est en effet inimitable, on y sent le mordant d'une personne pleine de vie et un talent qui ne demande qu'à briller et à nous conquérir. Vous n'êtes pas prêts de vous ennuyer grâce à cette plume fluide et d'une simplicité désarmante, qui se fait très souvent le pinceau d'une véritable palette d'émotions selon les situations que rencontrent les personnages, dont la crédibilité ainsi que celle de leur univers contemporain, en réalité le nôtre aussi, ne font que renforcer la puissance de ce récit à tous les niveaux et me conforte dans ce que j'ai énoncé plus haut : Colleen Hoover a un pouvoir magique, une baguette extraordinaire qui donne aux émotions une consistance splendide qui est loin de nous laisser de marbre. Une autrice à suivre de très près en somme, et dont je dois à tout prix découvrir les autres romans sortis de son chapeau de Marraine la bonne fée.

En conclusion, Maybe Someday nous raconte la connexion évidente entre deux personnages intenses, loin de nous laisser indifférents et qui deviendront nos compagnons de route au fur et à mesure que leur relation évoluera et se révélera d'une justesse et d'une puissance qui nous ébranlent dans chaque fibre de notre être. Les réactions diverses et variées qu'ils vont
Lien : https://lunartic.skyrock.com..
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