Je termine cette lecture déçu.
Le thème de l exil est porteur et moderne mais la lenteur de ce récit poussif comme son personnage principal, l absence d action, m ont rendu la lecture pénible.
Cet ouvrage aurait reçu le Goncourt en 1960 si les communistes n avaient pas détruit la réputation de
Vintila Horia.
Comme quoi, les goûts et les couleurs...
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