Quelle belle voix dans cette nuit qui s'étend depuis le 7 octobre.
Une voix qui en criant son désespoir et sa souffrance nous appelle a la pleine humanité.
Celle qui ne veut pas choisir un camp contre un autre.
Celle qui dit démasque les exigences de condamnation des souffrances infligées aux Palestiniens, exigences qui rappellent celles formulées aux musulmans après les attentats du 13 novembre.
Celle qui raconte si bien la spécificité de l'antisémitisme, ancrée dans la mémoire de ces ancêtres, de ceux sauvés par des justes comme ceux partis en fumée a Auschwitz.
Une lecture absolument essentielle.
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