Nous retrouvons un anti héros déprimé, deux touristes allemandes ouvertes au regard concupiscent de ce dernier et un flic belge au bout du rouleau. L'auteur décrit une île aux paysages lunaires où se dressent des cactus dont les formes sont sans ambiguïté. Un court récit de vacances où Michel va tenter de rendre son séjour sexy et se prendre d'amitié pour ce belge sans attrait. Toutes les marottes de l'auteur sont réunies, ses obsessions : le sexe (of course et à plusieurs, c'est toujours mieux), les sectes, la dépression comme leitmotiv. J'aime
Houellebecq, il me fait hurler de rire, sa plume est agile. Je regrette d'avoir cette impression persistante de déjà lu. le ton cynique et désabusé me séduit toujours autant, une fan reste une fan.
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