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Critique de Stemilou
Nouvelle écrite par Shirley Jackson avant d'être adapté en BD par son petit-fils , La loterie se déroule aux États-Unis dans les années 50. Les premières planches montre un homme arrivant dans une petite ville, il se dirige vers le magasin général où il retrouve Joe le propriétaire; tous deux se dirige vers la remise pour récupérer une étrange boîte dans laquelle ils mettrons une centaine de bouts de papier blanc pliés en deux, l'un d'eux sera marqué d'un gros point noir.
Ces deux hommes préparent la loterie qui aura lieu le lendemain, 27 Juin. En ce jour fatidique, la loterie aura lieu à dix heures, les mines sont graves et le lecteur ne sait pas encore à quoi rythme ce rituel pendant lequel tous les habitants y compris les enfants et abandonnant leur activité en cours se réunissent sur la place centrale, le tirage au sort peut commencer!
La nouvelle publiée en 1948 dans le New Yorker Magazine n'avait pas fait l'unanimité, critiques et scandales se sont élevés contre l'auteure mais aussi contre cette pratique qui aurait disparue depuis longtemps. Impossible de croire que dans cette Amérique en pleine évolution puisse courir des pratiques d'un autre temps mais aussi des pratiques d'une cruauté terrifiante.
La tension est terrible, le scénario se déroule lentement jusqu'à dévoiler l'objet de cette loterie sans pour autant nous en expliquer la finalité et c'est ce dernier point qui m'a largement manqué. Je suppose que l'explication aurait été religieuse ou bien trop fantastique dans le premier cas cela aurait été bien trop délicat et l'auteure ne se classait peut être pas dans la catégorie du deuxième.
L'histoire est pourtant si étrange: peu de paroles et une certaine soumissions dans les regards m'ont totalement terrifié, moi aussi je suis scandalisée qu'une telle pratique ait pu exister.
Lien : http://stemilou.over-blog.co..
Ces deux hommes préparent la loterie qui aura lieu le lendemain, 27 Juin. En ce jour fatidique, la loterie aura lieu à dix heures, les mines sont graves et le lecteur ne sait pas encore à quoi rythme ce rituel pendant lequel tous les habitants y compris les enfants et abandonnant leur activité en cours se réunissent sur la place centrale, le tirage au sort peut commencer!
La nouvelle publiée en 1948 dans le New Yorker Magazine n'avait pas fait l'unanimité, critiques et scandales se sont élevés contre l'auteure mais aussi contre cette pratique qui aurait disparue depuis longtemps. Impossible de croire que dans cette Amérique en pleine évolution puisse courir des pratiques d'un autre temps mais aussi des pratiques d'une cruauté terrifiante.
La tension est terrible, le scénario se déroule lentement jusqu'à dévoiler l'objet de cette loterie sans pour autant nous en expliquer la finalité et c'est ce dernier point qui m'a largement manqué. Je suppose que l'explication aurait été religieuse ou bien trop fantastique dans le premier cas cela aurait été bien trop délicat et l'auteure ne se classait peut être pas dans la catégorie du deuxième.
L'histoire est pourtant si étrange: peu de paroles et une certaine soumissions dans les regards m'ont totalement terrifié, moi aussi je suis scandalisée qu'une telle pratique ait pu exister.
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